Pendant le weekend

2470 Mercredi 28 Mai 2025

 

j’ai déjeuné avec A. après avoir été chercher le siège-auto pour la fin de cette semaine (il pleut) – il y avait ça

dans la rue passaient les bulgares (ou alors les roumains – ou alors les slovaques)

on a parlé, discuté ri –  on s’est quittés on se reverra – une attaque fiscale en règle semble-t-il attendait dans la boite aux lettres, difficile de se désintéresser de l’aspect financier des choses – dans les indésirables du journal, une centaine de mails bizarres (osef) – dans les préoccupations cependant, les différents organismes pénitentiaires (Asinora et Gorgona) et les tortures subies par les pris de justice – on a l’impression de retourner vers quelque chose qui ne cessera jamais pourtant d’exister, les tenants de la gégène dans le département d’outre Méditerranée, ceux de la rue Lauriston en référence à la résistance – ces turpitudes toujours renouvelées – hier il y avait cette image-là (Piero le chevrier)

qui m’a ému – je n’ai pas lu l’article mais ça viendra sans doute – je déteste partir mais ça va se faire quand même (il pleut) – hier trois mouettes pour deux pies sur le toit

ça glande pas mal – ça recherche quelque chose à goûter – puis il ne reste plus qu’une mouette (et les deux pies)

les deux autres

se sont tirées

le ciel est gris, dans la boite à livres un guide de Venise dans lequel se trouvaient deux cartes postales de Burano, des couleurs vives, du soleil, peut-être (qui sait ?) de la joie – surmultipliée : de la complaisance des volatiles et des capteurs électroniques

j’aurais dû recadrer (elle est très réussie) – ce sera sans cinéma je crois bien, peut-être piscine – s’il fait beau – s’il fait chaud – on verra, back in babylone ensuite – et puis plus rien

tout ira pour le mieux

 

 

Share

6 Comments

    J’ignorais tes talents de berger… mais ce n’est pas en Corse que tu pars ? Bon week-end en forme de viaduc ! 🙂

  • de plus en plus perdue – l’impression que tous vous lisez ou postez à une vitesse qui me dépasse
    et j’aime ça – salut à vous et à l »ami commentateur

  • (dans les « préoccupations cependant », c’est vrai que ça n’arrête pas, que ça n’a jamais arrêté donc, un peu comme le vol des mouettes d’ailleurs, ce qui compense, même si pas tant que ça, juste un chouilla)

  • @Dominique Hasselmann :je dispose anéfé de talents cachés. Merci à toi

  • @brigitte celerier :salut à vous et merci de passer par ici Brigitte

  • @cjeanney : en vrai les oiseaux qui volent et qui chantent (parfois – pas pour les pies,c’est vrai) sont ,souvent le matin,d’un grand réconfort. Merci à toi Kik

Laisser un commentaire