Pendant le weekend

Carnet de voyage(s) #151.1

 

 

 

 

voilà près de deux mois (il y a comme du retard à l’allumage – mais à l’impossible nul n’est tenu) alors il s’agit d’une promenade thématique – les obligations me submergent souvent (après une semaine troublée et assez turbulente) (on ne perd pas la tête complètement (non plus que ses clefs) – on avance tranquillement – attentions aux témoignages, aux reportages, aux élucubrations – hier j’étais de rougaïe – non mais « pour le reste (comme disait Brassens ou Mireille ou Jean Sablon) je m’en fous » – une histoire de voyage, probablement) huit clichés de ce roi
en arrivant dans l’autocar qui va de l’aéroport à la (Sé)ville

(l’une des rares photos au point (#460) (la dernière fois qu’on emprunte ce moyen de transport (sauf contre-ordre, évidemment) , je le crains, j’en ai peur, j’aime mais ce sera non (retour en train, plus tard) – le nino mes gestes les conditions générales la chaleur ou la pluie j’en passe tout cela influe sur ce paramètre : mes excuses)
ici dominant le monde (Médicis quand tu nous tiens)

l’air assez vindicatif hein – les palmes sont un hommage du jour à Jafar Panahi (on l’aime bien lui – les Dardenne, encore primés, c’est une habitude pertinente – 73 et 71: eh ben…) évidemment l’animal est mis à toutes les sauces comme on sait : j’aime cette boite-là

ce cogne-porte (un heurtoir, certes), ouvragé gardien une espèce de frayeur dissuasive cependant

ici encore au pied d’un autre roi (c’est une reine, c’est vrai) dans toute sa superbe (à l’entrée de l’Alcazar – ça a été niet – trop de monde trop de pluie (car il plut) trop) (on voit,en haut bord cadre au centre le volatile qui se protège)

les voilà souvent gueule ouverte (ils crient)

un blason cadré recadré et recadré : une espèce d’abîme, l’un a les yeux bleus, au musée de la céramique (magnifique) (le cartel est illisible : ici le 5

bah) (seizième siècle) – un autre lisible

évidemment on s’en prend toujours aux animaux – on les utilise – on les magnifie – ils servent de repoussoirs ou de faire-valoir – j’en termine

ah oui quand même… (la numérotation (tellement inutile et illusoire) attribue ici (trois frères, sans doute) le quantième 467, posons-y un # et l’affaire sera complète et la messe dite…)

 

Bon dimanche

 

 

 

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4 Comments

    Belle céramique.

    Tu n’es jamais allé voir le « vrai » Lion de Belfort (pas celui de la place Denfert-Rochereau) ? Vaut le détour ! 🙂

  • j’aime les yeux bleus sur le blason, j’aime aussi Jafar Panahi, les frères Dardenne et les habitudes pertinentes
    j’aime le lion superbe à côté de l’Alcazar et le volatile qui se protège
    j’aime aussi bien entendu être un peu perdue quand passe ici

  • @brigitte celerier : il a de beaux yeux,il le sait (embrassez-le…) :°)) Merci à vous Brigitte

  • @Dominique Hasselmann : c’est un très joli petit musée que celui de la céramique – je l’ai vu de mes yeux, celui de Belfort (un peu plat mais grandiose…). Merci à toi