Pendant le weekend

2482 Lundi 9 Juin 2025

 

 

 

bribes de promenade

(je m’étonne que Moulinsart ne fasse pas cesser le scandale de cette mauvaise copie) – en face un autre

(en dédicace à Anne Savelli) hier il faisait beau sur le rue des Pyrénées

il y avait comme un air de je ne sais quoi – liberté est excessif, divertissant n’est pas adapté – une femme s’esclaffait « non mais c’est la pentecôte c’est encore un pays chrétien ! » (j’ignorai) (rire gras, regard torve – les femmes aussi, donc) (il semble que le spectre se soit éloigné de P. – il est cependant proche d’une des belle-filles de l’ami dont les fenêtres donnent sur la rue Amelot – ces nouvelles me creusent) – ce rideau de fer décoré

(si on peut ainsi le qualifier) qui ne le fut pas toujours

(il était mieux, certes) il y eut marché (fruits uniquement – abricots/fraises/poire/kiwis – pour le dessert chez les amis de la Mare – ainsi que quelques gâteaux florentins délicieux) (sans compter le cheese-cake rapporté de leur rive gauche par les connaissances îliennes) – plus loin ou ensuite les deux tailleurs de Simon Bolivar

(celui-ci à poser dans le compte rendu de l’atelier d’écriture (présidentiel) de la bibliothèque François Villon – Rivoli Store & Tailors: une esperluette qu’on retrouverait chez ce merlan à la mode, sinon intersectionnelle, du moins inclusive) (la tentation d’affirmer que « si mon bolivar sonnait, tu saurais l’heure »)

directement posté) et cet autre qui y est déjà (au compte rendu – je ne le trouve plus, ne l’aurais-je point posté ? si mais en maison[s]témoin)

et puis en lecture toujours ces ego-histoires (celle d’un Raoul Girardet, fier de déployer son action française (vaguement adolescente); celle nettement plus savoureuse (si on veut) de Jacques Le Goff) et on en terminera de ce jour rétrospectivement sympathique mais qui apparaissait sans (et qui d’ailleurs le fut)

 

 

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