2501 Samedi 28 Juin 2025

la journée a commencé par une discussion sur les violences policières (argumentant l’article dédié) – marcher encore

l’impression continue que mon thermostat personnel ne fonctionne pas ou peu ou très mal – sueurs à tous les étages – accablement de chaleur (été détestable alors que l’hiver ne l’est pas moins) (va comprendre ta présence sur terre) (parmi cette humanité…) ici une preuve s’il en fallait de la perversion et du manque de respect d’icelle en ses magasins de luxe

n’est-ce pas que c’est amusant ? ça se négocie pour un nombre d’euros à trois chiffres (le premier n’est qu’un 1, c’est vrai) (#  471 &  #471 bis) – toutes les peines du monde à tenter de trouver quelque chose pour le bouste quinze et dernier – au marché du fromage et des pêches (c’était tôt le matin) des tomates et autres – je me suis rendu compte qu’au générique du livre sur Huit et demi

(gauche cadre) manquait la présence de Barbara Steele (ce qui est une espèce de honte) (le texte n’est pas si mal – probablement trop critique je suppose) (le film ne figure pas au classement (idiot, je reconnais) des cent meilleurs du monde du canard hebdo (de la même eau, je reconnais aussi)) – parfois je fatigue grââââve mais ça passe – le soir on est descendu jusque là

zoum avant ? (un mail de l’amie Kik sur un livre (semble-t-il) assez au faîte des pratiques courantes – Éloge du bug (Marcello Vitali-Rosati, Zones la découverte) (on peut le lire en ligne si on préfère) notamment les zoums qui emprisonnent (ou empoisonnent c’est comme tu aimes) les réunions tout en asservissant leurs participant.es – c’est « fonctionnel » hein))

(ce qui est une pratique courante du patronat favorisé par l’épidémie d’il y a cinq ans – le temps passe et court) pour écouter

le concert parfaitement réussi d’un certain Lullaby of Doom – ici les deux auteurs/joueurs/danseurs/musiciens de ce duo électro/funck/rock roboratif

on a bien ri – à peine dansé – retour dans le presque frais de minuit