2505 Mercredi 2 Juillet 2025
cet épisode est propice au repos – en fait rien que d’habituel sinon de rituel (marche et courses au marché lectures écritures dormures) (vaguement entamé le glossaire de Prisonnière à Téhéran – vaguement réfléchi à un billet Shock Corridor et puis la ville dans toute sa splendeur : ici un des petits métiers (poseur de balise jaune au mieux inutile au pire dangereuse au milieu de nul part) dont elle raffole – deux acteurs dont un casqué, des robiniers penchés, au loin, un péquin, auprès quatre chapeaux de clown un seau des outils –
de la complaisance des végétaux – une feuille de platane sans doute qui cherche et trouve la lumière
un objet (briquet électronique crois-je déceler) à l’enseigne d’une tête de rapace de profil surveillant ses arrières… – probablement allégorie prédatrice quelque chose (on pourrait y voir aussi le roi de ce règne-là)
une étude de cas avec son petit bonhomme rouge – l’enchapeauté n’a pas tenu la pause jusqu’au vert, désolé – ici
ou là
et pour finir une épicerie gréko-turque (orientaux- balkans) ou quelque chose de cet ordre – avant
et après
la séance
au ciné donc Le rendez-vous de l’été (Valentine Cadic, 2025) parfait (l’héroïne se nomme Blandine (Madec au générique – j’ai vu (entendu plutôt) Cadic-Madec sans compter la co-scénariste Mariette – Désert peut-être mais les sons de ces noms propres) prend l’espace rencontre sa bonne fée (une nageuse, Beryl Gastaldello dans la piscine et son propre rôle – zeugme) au loin qui promène ses deux chiens (les laisses auraient gagné à être plus longues pour parfaire la peinture de notre contemporain si pathétique) – et déambule formidablement dans un Paris surchauffé par ces jeux dits olympiques – un épisode burlesque au commissariat du 19 avec un agent de police qu’on ne nommera pas sur la fiche wiki du film – et un travelling (coupé dommage)
qui conduit à une espèce de bonheur) – parfait et premier long métrage qu’on salue, donc (collectif Les Filmeuses il me semble bien comprendre)
Beaucoup aimé Le rendez-vous de l’été moi aussi, quel dommage qu’il passe dans si peu de salles…
@L’employée aux écritures : voilà bien trois semaines qu’il est sorti je crois bien – avoir la possibilité de le voir encore relève du miracle (sans doute gage de sa qualité…) – merci à vous Employée
Encore un immeuble sans volets… Et dire que la cheffesse du RN réclame un « plan climatisation » national. Une conception totalitaire de l’écologie. 🙂
@Dominique Hasselmann : les allusions à l’ordure opportuniste restent tolérées en commentaire. Merci quand même !!