2527 Jeudi 24 Juillet 2025
deux mots qui sortent bizarrement ensemble de la nuit (pourtant magnifiquement rêvée passée mais interrompue trois fois) bouzin et bouclard – la fractions de rêve était faite d’un rouge beau et profond sur lequel des milliers de tout petits traits de lumière fins et jaunes apparaissaient disparaissaient comme des étoiles filantes : une merveille – une vision du cerveau et de ses connexions je suppose – de quoi passer un moment éclatant de joie – après la pluie et encore la pluie
– le matin au parc, ici le dispositif dans son ensemble (je ne sais ? bouzin ? bouclard ? les deux ?) wtf !
(on ne manquera pas de trèfles, en tout cas) comme l’exige notre modernisme contemporain, le truc est vicié : plus de cabine de projection mais sans doute quelques rétroprojecteurs électroniques de maçon – jte rapproche si tu veux
le petit cabanon bleu – un truc de dingues – le bouclard – osef on n’ira pas (une pensée pour Blanca Li et merdaucons) – de toutes les façons avec la pluie (je me souviens du visage catastrophé de la chargée d’études (c’est comme ça qu’on disait) lorsque la météo interdisait les projections (avec cabine) et donc les entretiens avec le public – je me souviens du type qui venait (un architecte) du boulevard Haussmann ou quelque chose (Saint-Michel ou Germain plutôt), à pied, marcel short tongs et tabouret pliant « non ce n’est pas loin » disait-il « et en plus c’est tout droit ») –
au courrier, trois timbres-poste
en cadeau (soit (quand même) 3 fois 1 euros 39 – 4 euros 17) en récompense de la résolution de l’énigme de la page 179 du magnifique Paris capitale du 21° siècle – le 18 (Thomas Clerc, minuit, 2024, prix Weppler) (je cite le titre de mémoire) : je ne résiste pas à la citation
Quand on voit ce qu’on voit, qu’on entend ce qu’on entend et qu’on sait ce que qu’on sait, on a bien raison de penser ce qu’on pense.
avec mes remerciements frappés au coin du bon sens
la lecture de l’inventaire des rêves (Chimamanda Ngozi Adichie, 2024) livre magnifique
un billet au sujet de L’armée des ombres (Jean-Pierre Melville, 1969) en maison[s]témoin
en face Le horla (Marion Desseigne Ravel, 2022) téléfilm (le premier quart d’heure, après : impossible)