2528 Vendredi 25 Juillet 2025
le fait est qu’il faudrait travailler mais c’est non j’en ai marre – les salles de cinés habituelles sont fermés (elles se situent en banlieue…) – la ville s’endort un peu,mais des millions de touristes vont viennent mangent boivent et le reste à l’avenant – j’ai entendu un sale type (agi, sans savoir ce qu’il dit d’abject) indiquer que « il faut que les touristes dépensent plus d’argent » : suggestion (mimosa commence comme mayonnaise par un m – œ&m)
on a un peu de mal, jte rapproche
ça va mieux, mais ce n’est toujours pas donné (quand on nomme la boutargue, la « p »outargue il faut ressentir de la méfiance – notamment de la part d’un « chef exécutif » à pleurer de rire ou de compassion)
non loin de l’aptonyme cependant (il doit cependant aussi se trouver être huîtrier) – l’atelier est en panne (entre les traces à laisser et l’addiction à n’importe quoi comme à tout) – alors marcher
c’est plutôt dry cependant – lectures cuisine lessives – fatigue sans sieste – lui était assez endormi
pluies cependant aussi pas mal – L’inventaire des rêves d’une belle écriture tourne au tragique, au drame, à l’horreur : viols terreurs immonde (inspiré des horreurs commises par dsk – je me souviens de jean-françois kahn et de sa soubrette) – en passant vers l’hôtel (où la suite (duplex) baudelaire se négocie à mille euros la nuit) cette affichette si amusante
n’est-ce pas que c’est drôle, chez un marchand de meubles ? en ville – j’arpente le bitume et les dalles des trottoirs, flaques et feuilles déjà mortes, j’ai juste deux pieds dans un mauvais état – négligence – idées noires – la pluie et la souche Corentin remplacée par une jeunesse
entrant encore dans le cadre
dire aussi que les travaux sur le toit de l’école d’en face font braire – nuisent au calme à la tranquillité à la concentration(mauvaises raisons mais raisons quand même) – le soir rendez-vous (deux l’une assez maigrelette, en tailleur beige vers le jaune, assez sèche, l’autre maquillée toute en noire pratiquement je ne trouve plus le mot plus souriante, la vue la rue le jardin la foire
il paraît que la vasque s’élève tous les jours et que le monde s’extasie devant une telle prouesse – je ne démissionne pas, mais je n’en suis pasloin – bientôtles vacances…
quand Paris absorbe des hordes de touristes, c’est vrai, on le perd un peu, car malgré ses défauts, Paris est beau. C’est vers le 15 août que d’antan, je traversais les grands boulevards déserts. Je te conseille deux livres, si tu les trouve à la bibliothèque municipale du Trocadéro (dont c’est une des spécialités) : 1) « Paris caché »
2) « Paris au calme ».
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