Pendant le weekend

2530 Dimanche 27 Juillet 2025

 

 

 

la littérature a son hôtel parisien – osef c’est vrai aussi, c’est un peu ethno-centré – la maison-mère d’icelle (hein) se situe à cinquante mètres – là, je me disais bizarre qu’il n’y ait pas un pékin sécuritaire, mais en vrai si

il est là (on voit le dispositif photographique en reflet, le sigle de la maison est collé en un sens sur son visage, il a l’air propre sur lui costume cravate enfin) , gauche cadre il est inscrit « hôtel littéraire » comme quoi le ridicule ne tue pas – le buis se trouve en position un peu cavalière (j’ai mieux

n’est-ce pas que ça ne tue pas ?) tout ça pour dire – attends, y’a le livreur (je me disais qui peux bien fréquenter ce genre d’officine ?)

l’homme aux clés d’or se précipite – tout ce que demande le client (ou la cliente, soyons juste) est possible – oui tout ça pour dire qu’on organise dans ce merveilleux écrin des soirées – cette image-là date de 2008 : on avait plus de tenue quant aux buis

des soirées disais-je : ici l’annonce (intéressant non?)

écrivains vignerons et autres hédonistes – ça vous pose le truc (au masculin quand même) franchement c’est une ambiance chaleureuse (il me semble qu’une fois, j’avais vu la mention, en madame loyale (car il arrive aussi que soit convoqué le sexe beau mais faible) (on appelle ça des « ménages » dans la corporation journalistique (ou toc) une Laure Adler) – « qu’est-ce que la littérature? » interrogeait JPS il y a bien longtemps – eh bien voilà

ah mais oui (un livre, du pif, un repas étoilé : la joie pour 190 euros – que demande le peuple ?).

 

 

au ciné Pooja, sir (Deepak Rauniyar,2024) (népalais) (Pooja c’est probablement le prénom (ou le patronyme, je n’ai pas réussi à saisir) de la policière (interprété avec talent – mais aussi pas mal de sueurs froides ou chaudes – par Asha Magrati) chargée de retrouver deux enfants kidnappés; le « sir » est pour montrer son grade (et donc le respect dû à son genre) (comme un homme disons) capitaine – homosexuelle, éthique, caractère trempé semble nous dire le scénario – montage un peu défaillant et direction d’acteurs et d’actrices du même ordre – mais le film est attachant quand même il serait conventionnel sur le fond (ACAB sans doute, mais pas ici…) (le Népal, la couleur de peau (plus ou moins noir), les Madeshi (une ethnie particulière fortement réprimée), le tout se déroulant en 2015 où il y eut des émeutes raciales donc) (on a pensé à Santosh (Sandhya Suri, 2024) sans doute parce que lui se déroule aux Indes avec un scénario un peu similaire – une héroïne pure et dure disons…) – ici l’interprète principale et le réalisateur (son mari à la ville dit la chronique)

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1 Comment

    oui jolie (enfin, sourions) la formule !

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