2569 jEUDI 4 sEPTEMBRE 2025
la maladie vaguement – le travail très vaguement (le 15 de l’atelier d’été dernier avec un poème cité par Laura Vasquez si j’ai compris d’Anna Akhmatova – le poème égale une chanson souvent) – il n’a pas vraiment plu, mais l’après-midi a été bondé d’une sieste de près de trois heures – croisé cette alimentation générale qui ne dit pas son nom
coin Auber/Département (au coin du bout de la rue, la bibliothèque spécialisée bandes dessinées si j’ai bien compris – l’enregistrement de mardi (magnifique projet Par-là-Paris de L’aiR Nu, et son extension Jacqueline) il y a huit jours a fait resurgir un pan des vingt ans du rédacteur – on verra) – il y avait aussi ce peintre en grillage
plus tard avec un peu de pluie celle-ci avec ses crabes et son sac qatar/cabas/canne anglaise/protection de poignet la casquette pointant vers la Vasquez
paparazzo un jour
le soir le jeune type est arrivé
sans relation le drame de Lisbonne (je recevais un mail de l’amie portugaise à peu près à l’heure où se déroulait le drame) m’a fait mal au cœur
en face Les magnétiques (Vincent Maël Cardona, 2001) (un premier film (fémis – le scénario est un peu trop cousu de fil blanc comme on dit) contant les émois et les drames vécu par un jeune type un peu timide féru de radio – une jolie ambiance, celle du début des années 80 (libération des ondes) où tonton ne nous avait pas encore trahi) et de Berlin-est à cette époque) (bah)