2509 Dimanche 6 Juillet 2025
la pluie c’est formidable – sauf si elle dure trop – je ne sais s’il y en a vers le château de Scormont mais ça modifie les projets : par exemple le collectif du jardin des Vertus organise une assemblée cet après-midi doublée d’une fête mais il pleut (ça change vaguement le programme – encore un coup de la place beauvau (on ne prête qu’aux riches dit-on – c’est leur donner bien du pouvoir…) et de son locataire prétentieux (fervent admirateur d’un type qui adorait les costumes chics (12 ou 15 k euros la pièce quand même) offerts par ses ouailles) – fait frais, hier il y avait ciels au programme (c’est venu sans autre forme de procès)
ça a commencé en revenant de chez le vraqueux – je ne sais déterminer ni lire les augures
par ailleurs je ne vais pas m’y fier – aux séries, plutôt oui – sans doute une courbure, quelque chose de la torsion, l’avenir et la pré-science, le sixième sens ou l’intuition dite féminine
coin Chapelle Maubeuge je crois bien – j’ai vérifié : des reflets qui veulent dire quoi ?
miradors gare drapeau bord cadre en bas à droite – les préparatifs des vacances (Bruxelles arrivait en Auvergne) – et plus tard le soir après la séance
j’en étais à mes découpages B2TS, et voilà que passe un gros porteur
pas suffisamment de lumière – tandis qu’un autre
clignote : est-ce que ce furent des signes ? je ne suis pas certain – j’en suis au glossaire du livre Prisonnière à Téhéran – pourquoi faire me demandé-je, oublier Aldo ? une espèce d’hommage, simplement (beaucoup apprécié le billet de tribune que fit paraître Fariba Adelkhah il y a quelques jours) – en sortant du ciné, ceci que je n’avais jamais remarqué
(la sortie se situe en face du bar à marquise rouge gauche cadre au milieu – là où un type a laissé sa tête, le plus souvent on passe en ruminant des mérites comparés de ce film-ci avec cet autre – sans compter les discussions sur le genre, la forme, la musique, le boulot) et laisse ceci dans son dos) rapproché recadré
mais le truc n’était pas collé en février 23 (comme l’indique le cliché automatique et industriel)
au ciné donc Une famille normale (Hur Jin-Ho, 2023) (une des multi-adaptations d’un roman à succès, Le dîner d’Hermann Koch (2009) – auteur néerlandais) de la nocivité des écrans sur les jeunes générations (cyniques et avides, évidemment) une certaine complaisance : pas un des personnages pour sauver l’autre (sinon peut-être la seconde épouse (plus jeune) du frère aîné (alors que l’épouse du frère cadet est plus vieille que ce dernier) – aîné, si j’ai bien compris : en tout cas celui qui a réussi financièrement et (de ce fait, probablement) le préféré d’une mère insupportable) et c’est la mort qui gagne… (assez bof et inutilement violent)