2535 Vendredi 1° Août 2025
parfois une seule chanson suffit – celle-là par exemple
l’horreur s’en va
puis toujours présente alors hier marcher
acheter le canard (5.9 e) toujours aussi joyeux – travail à la table (sieste entre 11h25 et 11h45 comme les vieux ? – et maintenant il pleut)
que de menus – depuis un moment je déteste la convention – août est vacancier ici – juillet l’est moins, mais je ne les aime pas ni l’un ni l’autre – et voilà qu’il pleut – c’est pire – en haut de la rue de Ménilmontant on voit le ballon au dessus du parc Citroën au fond de la perspective le mont Valérien (ai-je toujours imaginé – alors que c’est la forêt de Montmorency – ou c’est toujours ce que je crois – Suresnes Saint-Cloud que sait-on – osefu2p) –
deux bonnes heures de marche puis travail à l’hdr – commentaires notes relectures – à nouveau l’index de la maison[s]témoin qui sera suivi ou enrichi peut-être de celui de Ville&cinéma (un déploiement des images des dispersion serait à envisager (qui apparaît plusieurs fois ?) – vaguement le sentiment de préparer un testament) – terminer L’inventaire des rêves – dehors il fit nuit
la profondeur du noir est artificielle (une simple chanson suffit à la faire disparaître) – une étude du prunus, fixe
mouettes et perruches crient – puis à peine bougé (ouvrant le four pour y faire cuire le gratin dauphinois j’y (re)trouve un poivron et deux tomates cuites: j’aile sentiment de parfois perdre la tête, ou la mémoire, où l’avais-je égarée quand je les ai oubliés, hier soir ? je ne sais pas bien) –
comme tous les jeudis, ils devaient bien être une vingtaine, ils avaient installé en pleine rue une grue immense et pliable et importé sur le toit des tonnes de matériel d’étanchéité – emporté avec eux des tonnes de gravats et autres déchets et voilà qu’il pleut : comment veux-tu qu’ils bossent ? – et encore un peu (la mieux, on ne le reconnait que peu)
« Dehors il fit nuit » : belle formule pour un « incipit » (ou une conclusion). 🙂
@Dominique Hasselmann : je te la cède, si tu veux. Merci à toi