Pendant le weekend

2536 Samedi 2 Août 2025

 

 

 

je préfère encore m’en moquer (ça ne m’intéresse pas, les frasques de l’abject peroxydé et sa guéguerre – il pourrira comme nous tous) (l’impression que la batterie de casseroles de la si charmante embijoutée ministre de la com’ prospère de jour en jour – on l’entend venir, bientôt un nouveau bracelet…) nouvelles lunettes puis passage chez un huissier (le procès moquette en appel) alors fatalement

voyant (enfin apercevant) cette devanture, on se dit qu’il y a du boulot question regard – pour celle-ci

(le « i » est tombé) on se rend compte que le centre n’a rien d’enviable – c’est sur un coin (Crimée -Tandou) – tandis que sur l’autre vitrine c’est le »e »qui chut

(le robot rétablit la réalité des faits : ici

et là (grâces lui soient rendues)

) en passant devant une petite frasque de B2TS annulée

c’est le pont de Crimée – dans l’eau le rideau de bulles (on le distingue à peine) empêche les détritus de passer (il barre le cours de l’eau en diagonale)

et puis l’invent’hair continuant (Joinville 1)

c’est le coiffeur (en pleine action) appuyé à l’ombre (j’aurais été jusque « l’atelier capill’hair ») cet autre (assez médiocre) (Joinville 2)

bof – cette officine assez sympathique qui m’interpellait (rien d’exceptionnel)

j’avais mon pli (deux signatures, une attente d’une vingtaine de minutes; aperçu de milliers d’autres rangés en cartons en armoire – enfin la routine huissière je suppose) je rentre à pied comme de juste et voilà que je tombe sur un « déjà fait » (je crois que l’enseigne est d’un glacier boboïsant

je fais la photo de la vitrine (jaune) du commerce dès que possible – n’est-ce pas que c’est drôle comme enseigne ?)

 

le soir au ciné (Clichy) The things you kill (Alireza Khatami, 2025) beaucoup de charmes, peut-être un peu de sorcellerie – en tout cas  un univers où il est très difficile de (sur)vivre – noir et violent (plutôt en hors champ – mais zéro musique et ça ce n »est pas joli joli…))

 

 

 

 

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