Pendant le weekend

11 juin 1098 (Oublier Paris #83)

 

 

 

 

Pour l’anniversaire des soixante six (c’est aujourd’hui, eh oui), l’ami G. a trouvé (avec l’amie A.) une exposition de B2TS probablement assez contemporaine de celle de l’hôpital Bichat Saint-Louis (laquelle est, m’a-t-il semblé, assez bien entretenue – d’autres images viennent combler celles qui s’étiolent, ou manquent, ou volées, et une profession de foi est à présent lisible, que je livre (en deux fois pour qu’on puisse lire – avec mes remerciements à Dominique Hasselmann qui m’a indiqué le flou de l’image précédentes)

– j’espère qu’on parvient à la lire) c’est mieux, je crois (ce qu’il y a de certain c’es que c’est pour ça qu’on l’aime, B2TS)

et en effet, les gens s’arrêtent et se voient avec plaisir… Merci à lui.

– l’exposition se situe à peu près ici (le cliché datant d’avril 2018, cette exposition-ci est donc bien postérieure à celle de Bichat) (les divers épisodes qui constituent ici l’expo Bichat se trouvent sous le signe B2TS colonne de droite ou pour commencer ici, si on préfère)

dont le contrechamp constitue l’un des parangons parisiens

de la rue qui tourne (rue des Vinaigriers), où, au dessus de la porte on peut distinguer ce spécimen (lion des Médicis)

(déjà à l’inventaire – mais pour en dire le numéro, c’est une autre affaire) indiqué aussi par le Chasse-Clou : par jeu, je suis allé sur l’avenue, à son numéro, voir s’il apparaissait à la fenêtre, mais non, seulement une voisine – elle se reconnaîtra

– remontant vers le croisement, ce mur vierge

mais qui ne l’est plus aujourd’hui

(on sait s’amuser dans le 10) (on reconnaît cependant le vélo bleu – à moins que ce ne soit une bicyclette – ayant changé d’affectation, mais toujours voisine d’un pylône) – et tout cela vraiment réjouissant puisque l’exposition est composée d’une quinzaine d’oeuvres (disons) qu’on posera ici à mesure et au fur des dimanches qui s’écouleront dans cette soixante septième phase plus ou moins temporelle et existentielle (comme disaient JPS (pas le clopo) et « son » Castor (qu’on salue ici, pour une fois, parce qu’on les aime)).

Avec les remerciements (et les compliments comme il va sans dire et se doit) du rédacteur

Exposition Bichat avec Lion (#344)

en dvd Au poste (Quentin Dupieux, 2018) espèce de galéjade mais drôle, c’est pour ça (on aurait aimé aller voir le film palmé d’or mais impossible, file d’attente au Louxor allant presque à Lariboisière – faut pas pousser) (j’ai dans l’idée qu’ils (les pauvres) les mangent (les riches) à la fin, mais je ne voudrais pas « spoiler » comme dit l’affiche du film, comme si on en avait quelque chose à battre de connaître cette fin, justement – pour la peine, on n’ira qu’en octobre) (ou en juillet août – qui peut savoir ?) 

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3 Comments

    non ils ne les mangent pas…
    mais enfin…
    et oui on rit, beaucoup, mais on pense en riant

  • Ce qui est quand même incroyable, c’est que cette « expo Bichat » tienne le coup sans aucune dégradation…

    Merci pour l’allusion au « Chasse-clou » mais il n’est plus consultable sur « Le Monde » puisque ce canard a décidé – sans aucune explication ou excuse – de demander à ses abonnés de virer leurs blogs ailleurs, vers WordPress.

    Même si le mien avait été stoppé par moi-même pour cause de censure, il me servait néanmoins parfois d’archives : j’ai pu le rapatrier ici, in extremis !

    Le coin de l’hôpital Saint-Louis, avec son « ordonnance » peu discrète a été vite tagué, mais effacé aussi sec : il y avait comme une urgence ! Près de 95% des hôpitaux sont en grêve aujourd’hui et Madame Buzyn va aller parader devant le Sénat sans honte. 😉

  • @ Piero : Oui, merci à toi, c’est nettement plus lisible !

    Et bon anniversaire (je n’avais pas compris l’allusion)… 🙂