Pendant le weekend

2130 Mercredi 26 Octobre 2022

 

 

 

il me semble savoir que la date d’anniversaire d’un ami de fac (D.) se tient aujourd’hui – ferais-je un texto ? il me semble aussi que nous nous sommes oubliés – son épouse étant née un onze (comme moi – comme d’autre – mais elle, du même mois) je lui en avais expédié un auquel elle n’a pas daigné répondre – les gens sont oublieux (OSEFC) – publicité gratuite (en est-ce vraiment ?)

Mimmo (c’est dans L’humanité dimanche crois-je savoir) dont les index du livre Grâce à eux ont été réalisés par votre serviteur (l’éditeur n’a pas jugé opportun de prendre attache (j’aime ce terme) (juridique en diable) – l’éditeur est oublieux) (OSEF aussi, mais on reste poli, comme tu vois) croisé ceci hier

jeté en pleine rue – jouet – mais est-il genré ? – bah « le monde est tel qu’il est » disait Higelin « en dehors de toi-même qui sait/ Ce qui est vrai ou faux ohohoh/Beau beau ou laid… » (je me souviens de ce concert qui se termina à pas d’heure à la mairie de Montreuil) (peut-être était-ce avec D. justement ? oublié (mais chronique en l’honneur de celui dont il est la progéniture (car je n’oublie pas, non)) – ça aussi tiens dans la rue près du conservatoire

Rastafaraï (je me souviens du Négus – le roi des rois – petit homme revêche) (je me souviens de celui de Nevers aussi) – du marché en droite ligne

avec des histoires de famille (il en est de formidables, tu sais bien – elles le sont toutes, oui et parfois, elles embarrassent : il faudrait que je m’y attelle, tu sais mais je n’ai ni la foi ni le courage ni encore moins le désir – il viendra sûrement – on a le droit d’espérer, encore)

Les falafels étaient assez réussi(e)s (?), mais un peu trop durs sous la dent (j’avais œuvré à un caviar d’aubergines, une salade grillée (slatam mechouia – tomates et poivrons production domestique) yaourth plus ciboulette (production domestique itou) pour accompagner (eh bien insomnie par la grâce de l’ail…)

 

ah aussi cette merveille de la technique moderne : une image qui date de dix ans montrant le portant (et ils en ont changé, ces abrutis) du restaurant à l’œuf bio mayo james (NH informe que le James en question se nommait Lord et écrivit une monographie de Giacometti – merci à toi) (on trouvera ici une reproduction d’un portrait dudit par l’artiste, datant de 1964)

avec ses trois petites représentations de tasses à café si c’est pas mignon ? mais non. Avec une terrasse ouverte à qui voulait, c’est pas plus accueillant ? mais non. FO ça c’est Paris aujourd’hui…

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5 Comments

    OSEF mais vous n’oubliez pas (et rendez à l’occasion bel hommage) – oui les histoires de familles peuvent être belles (et fortes) quant à Paris aujourd’hui et un peu avant… (déjà en mon temps des cafés ne pratiquais que le comptoir avec plèbe)

  • @brigitte celerier : oui, au bar – d’ailleurs dans ces genres de négoces, la mode c’est de ne plus en mettre comme ça on n’est pas embêté… Merci à vous

  • Si Google – avec ses voitures aux toits encombrés d’appareils auxquelles manquent quand même des haut-parleurs tous azimuts utiles en cas de bombardements – a photographié toutes les terrasses des restaus de Paris depuis qu’elles ont vu le jour, à la suite d’une simple « grippette », cela doit faire une sacrée galerie de centaines de milliers de visages floutés, déformés, hideux, comme dans un film interminable de… SF.

    Une idée à creuser. 😉

  • Et cette si jolie petite cuisine, abandonnée lâchement sur un trottoir, tu aurais dû la récupérer : elle servirait à mettre en valeur tes propres talents gastronomiques !!! 😉

  • @Dominique Hasselmann :(gaffe à pas troller quand même hein)(:°))oui pour la petite cuisine – pour les flous des gens, c’est probablement mieux – merci à toi pour tes passages multiples (et attendus, certes) (je vois que tu as changé ta petite image du machin nommé gravatar -jamais réussi à m’y appliquer (c’est que je tiens à un certain anonymat)