Pendant le weekend

2525 Mardi 22 Juillet 2025

 

 

 

le froid ou quoi – la pluie – ils sont jolis les chiffres du jour – bizarre cette fatigue alanguie de plus en plus lourde – les chiffres de la pétition 3014 qui s’arrêtent pendant la nuit (très spéciale – les territoires d’outremer ou les départements d’icelle n’en seraient donc pas – ça m’étonne) (c’est égal mais on voit(dans les journaux consultés évidemment) beaucoup de « bascule » beaucoup de « historique » beaucoup trop de « exponentielle » pour en tenir compte) -en lecture des histoires d’amour de L’inventaire des rêves – les nuages caracolent -le vent souffle et l’eau tombe – parapluie perdu – le compte des précipitations

en spéciale dédicace à C. Jeanney : VW vers 2 ans peut-être

(pas l’impression cependant qu’elle se ressemble) en remerciement pour le mixage de la lecture pour L’aiR Nu (je mets le lien taleur) L’aiR Lu (c’est là)

livre magnifique – ratatouille et riz au persil – cheville gauche enflée un peu comme crois-je comprendre l’odieux et abject peroxydé

 

en face L’espion qui venait du froid (Martin Ritt, 1965) classique – Richard Burton à son probablement meilleur (le Cléopâtre  de Jo Mankiewicz (1963) est sans doute oublié) j’aime assez cette image-là

probablement pour les avions qui servent de faire valoir (à moins que ce ne soit l’inverse) (de gauche à droite Martin Ritt, Liz Taylor, Richard Burton) et dans la même disposition l’épouse du premier rôle (qui n’est pas dans le film)

puis Moonstruck (Éclair de lune – Norman Jewison, 1987) Cher (la chanteuse, aka Cheryl Sarkisian LaPiere) elle est de 46, 41 ans à l’époque du film, effervescente – Nick Cage à côté est un pâle trublion – assez bif bof en tout cas

 

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