2526 Mercredi 23 Juillet 2025
quand se termine ce mois, le moral s’affermit – ça ne sert à rien – hier était un beau jour (on a bien ri) restaurant et apéritif en forme de dîner – familial – tapenade et une espèce de gaspacho à ma mode chips quiche aux poireaux – Bruxelles est sur la route des vacances – les métros sont en travaux (galère assurée mais ne t’en fais pas trop non plus) je commence à fatiguer (moustiques, insomnies) – lecture quand même, pour le travail d’atelier (je cale sur la prop 8), je ne sais plus – un billet de maison[s]témoin armé d’ombres (Melville, 1969) sans doute (à moins que ça ne se change en Laura (Otto Preminger, 1944) – je crois que oui) (je vais voir) je ne sais plus je me dirige dans le brouillard (Aldo et Norma dorment dans leur dossier) – plus de goût à rien de ce genre – ça passera (sans pluie s’il se peut ? je crains que non) – travailler commence à me faire braire (je ne travaille d’ailleurs pas) – des volatiles passent et se posent
pas si mal – celui-ci (mon camarade de canal) disparaît quand je tente de le capturer
pour réapparaître pratiquement hors cadre
zoom aidant on ne le distingue presque pas – charmant cormoran – vint ensuite celui qui écope la fontaine (les lions : #474 – en sont-ce bien ?)
pas si mal non plus – on prépare l’écran du cinéma de plein air (ça ouvre aujourd’hui sous averses orageuses…) fort lointain
puis plus proche (je croyais à l’opacité des les écrans, eh ben non)
(j’aime beaucoup (sans la connaître) cette dame qui joue avec son chien) – plus tard le parti pris des choses : internet a tué la poste
la boite aux lettres splendide a disparu (elle est là quand même mais à présent ne restent que des souvenirs d’elle) – passent les jours et passent les semaines : tant pis
encore en ville cette petite démonstration céramiste et/ou mosaïste
pas si mal- et enfin sur le mur, profession de foi