Pendant le weekend

Vingt neuf cent vingt et un (an II)

 

 

un café avec le frangin (6euros les 2, coin bastille roquette une horreur, l’amabilité proverbiale des garçons de café est un plus) (cette ville…)

puis on a encore eu recours au plombier (Gabriel il s’appelle, est-ce que ça peut s’inventer ?), puis comme c’était depuis quelques jours la « fête du cinéma » (ces « fêtes » à répétition, c’est à ne pas croire, mais c’est tout ce qui reste à ce pauvre monde idiot) on a été voir

rue Francoeur au 6, c’est la Fémis (fondation européenne des métiers de l’image et du son – le truc a 30 ans, fait suite à l’IDHEC – institut des hautes études cinématographiques, c’était pas mal non plus…) dans le 18, ancien studio Pathé cinéma (si on veut, on peut voir certains films ici)

salle Jean Renoir, des films courts métrages de fin d’études dont l’un vraiment magnifique une comédie musicale (24 minutes) intitulé « Le grand numéro » (Gérome Barry : à retenir si la chance…) sensible, une musique à frémir, une chorégraphie splendide, un scénario en acier, une image et des artistes (musiciens, danseurs, acteurs…) formidables… (on peut se faire son opinion si on veut ici)

En sortant, ce champ vide

doublé d’icelui (plus clair, mais habité)

et ce contrechamp (on remercie de l’accueil – mais on n’a pas su qui était cette dame qui présentait (probablement la directrice, j’imagine))

(il y avait aussi au programme : « Les chemises ouvertes » de Marie Loustalot -20 minutes; « Pulse bar » de Tristan Pontécaille -19 minutes- lequel a collaboré au « Wipeout » de Amine Berrada -8 minutes)

J’asq. 42 le peroxydé us (menteur voleur homophobe raciste : c’est un plaisir d’accueillir ce genre de bipède qui fait honneur au genre humain) viendra à Paris pour le quatorzième jour du mois prochain afin d’assister au défilé de la fête nationale (ainsi micron fera-t-il admirer à son homologue d’outre-atlantique, son allié milliardaire, son grand frère en affaire (il faut dire que micron a pris le pli de l’influence US assez jeune – avec son premier ministre et le « matheux de service » ou l’ex-nono 1° et d’autres bien sûr) la taille de son engin : la vie est belle, et le jeu, toujours, vaut par sa chandelle) (on en est là…)

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1 Comment

    Tu n’as pas vu le film sur la Femis ?
    Successions d’oraux (sans qu’une seule fois le nom de l’IDHEC ne soit prononcé), un petit intérêt purement sociologique !