Pendant le weekend

663 – 21_12_2014

 

 

 

des chiffres, toujours des chiffres (coup de téléphone de la banque, à la banque, faites ceci faites cela) (autorisation en cours pour la taxe foncière, c’est quand même heureux) s’accrocher  – c’est chez l’ami Lucien que j’ai vu quelque chose sur les artistes de la poste et hier, marchant dans le gris brouillard et pluie fine il y avait ceci

qui comme une soeur ressemble à cela

l’organe propriétaire, avant de la virer (ça ne sert plus à rien de nos jours, tu sais) l’avait repeinte à sa wtf couleur – n’importe, Da Cruz je l’aime bien c’est rue de l’Ourcq dans le 19 stuveux la voir – j’ai marché, été porter mon chèque chez les impôts, été déjeuner avec mon pote de bientôt cinquante ans (lui ai apporté (sans faire de photo, le dernier des abrutis, c’est moi) un petit pulcinella napolitain) (gigot flageolets chardonnay blanc) (c’est encore lui qui a casqué – merci encore) j’ai trouvé ça en revenant

situé juste en dessous de cette maison d’édition (je ne sais plus, j’avais interrogé l’éditeur qui tenait aussi le musée qu’il y a dans la rue adjacente – musée du fumeur, de la fumette ou quelque chose je ne sais plus) et en revenant par métro (finir le billet de maison(s)témoin) quand même croisé ces chaussures rouges transportant l’un de mes contemporains

à l’air fâché (sans doute écoute-t-il la radio régimaire (c) dirigée de main de fer par cet adorateur des bois exotiques et des voitures de fonction, le matin, vers moins cinq de neuf, l’eau tiède indigeste et trois quarts (on reste dans l’évaluation, le performatif et la comparaison tu comprends) pourri de ce producteur qui, par ailleurs (je me suis renseigné) pond romans et textes (devrait guigner la place à Jean d’O – paix sur son âme et ses frasques – sous la coupole ça lui irait comme un gant) (je l’ai pas lu, remarque je dis ça, on dirait Pierre Bayard)

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