Pendant le weekend

1969 Dimanche 31 Octobre 2021

 

 

 

 

ça fait qu’il n’est encore que moins le quart – hier on a eu droit à la flotte – appel à M. mon amie qui vient de sa Cévenne à Paris – le besoin de parler aux amis oui – on cherchait avec V. le titre de son opus – et dire qu’on en a écrit un ensemble (parfois la tristesse m’étreint tu sais) – et puis ça passe

quand il pleut, il me semble que ça va mieux – trouvé une espèce de gimmick pour Norma ; pourquoi pas Venise ? on en fera quelque chose – je continue à bosser le texte – constitué un florilège des tenants aboutissants buts recherches essais tentatives mises en place du cahier des charges – je n’ai pas fait attention à la date de remise, mais j’ai eu tort, si ça se trouve c’est le 2 – ça m’étonnerait – pourquoi  travailler avec des traîtres ? je ne sais pas, bon qu’à ça peut-être – croisé celles-ci

je t’en rapproche une (je préférerai me battre dans la rue – j’ai peur)

je ne sais pas – je crois que j’ai perdu, mais tant pis je continue

il n’est donc que trois heures onze – trente et une à présent

je n’aurais pas dû l’oublier parce que cette aide-là est primordiale : des choses auxquelles on croie (votre serviteur en Patrick) (bon, après l’organe, la rubrique, tout ça on peut discuter hein)

J’en profite pour reposer encore le flyer

ne pas hésiter plus longtemps

 

 

 

au cinéma La fracture (Catherine Corsini, 2021) formidable – pour une fois que le cinéma français s’empare de l’histoire du pays (quatre premiers rôles qui envoient tellement graâââve – Aïssatou Diallo Sagna d’abord : sublime de calme et de maîtrise de soi – dans son propre rôle d’abord : formidable, d’abord -les deux complices Valeria Bruni Tedesci (on (ne) peut (pas) toujours lui en vouloir d’avoir la sœur et le bof qu’elle a) splendide, Marina Foïs et Pio Marmaï tout autant – une direction d’acteurs d’acier, une image d’airain – le tout dans une nuit, tragique, l’attachement au travail, à la vie, à l’amour la joie – des deuxièmes rôles formidables tout autant… – une vraie et splendide merveille)

taleur peut-être licence to kill double zéro sept

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2 Comments

    oui on ne peut pas toujours lui en vouloir (on peut peut-être la plaindre légèrement)

  • @brigitte celerier : si vous y tenez… :°)en tout cas,comme les autres, elle est vraiment formidable