Pendant le weekend

Dix huit deux / Trois cent cinquante quatre

 

 

(fait pas si chaud) (c’est plus au solstice qu’il faudrait faire une fête de la musique, ce qui a pris à machin de décréter que c’était au début de l’été reste un mystère – sinon que le scolaire l’aurait emporté) (les jours allongent non seulement vers la fin de journée

mais aussi vers le matin – fait presque jour à 7, t’as qu’à voir) on a vu « Loving » (c’est un nom propre qui fait le titre du film) (Jeff Nichols, 2016) (un type (Ric) épouse une femme (jusqu’ici tout va bien) (Mildred dite Brindille) elle est noire, c’est hors-la-loi ils se font virer, ils font des enfants ensemble, des avocats et des journalistes s’emparent du truc et en font une histoire pontifiante) (un peu le suspens à la Nichols, ça va encore – si on cherche rythme et punch, inutile) en sortant

c’est que la nuit est tombée, nature morte au projecteur

sur L’air Nu lecture par Anne Savelli d’un extrait de « Atelier 62 » (livre magnifique de Martine Sonnet, 2009) extra (augmentée d’un peu de « Loin de Paris » de Pierre Pachet) (ces « 36 secondes » sont des merveilles)

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2 Comments

    oui pour les 36 secondes et oui Atelier 62 est un livre magnifique
    je croyais que Loving (de toute façon je n’arrive pas à renouer avec l’idée cinéma… chercher, faire la queue.. deviens vieille loche) était meilleur que cela ressort de votre phrase..

  • @brigetoun : « Loving » est plutôt bien, mais il se traîne un peu… et puis le théâtre et les concerts valent aussi bien que le ciné… Merci des passages et signalements facebook…