Pendant le weekend

2087 Mardi 13 Septembre 2022

 

 

(il y a des jours où rien ne va et c’était le cas hier : enfin non j’ai quand même (après avoir, samedi, acheté trois kilos de tomates à la Bérouette) fait quelques conserves de sauceto histoire de dire

on s’en fout c’est vrai – il y avait sur la planche la requête (je l’ai laissée choir (un « e »à laissé ? je me demande…) (suivi d’un infinitif peut-être pas) (cette grammaire…) et c’est une erreur : plus je recule et plus le temps joue en ma défaveur) (c’est con : comme les actes manqués réussis, j’ai laissé en brouillon un mail, et j’ai attendu la réponse comme un abruti pendant des heures et des heures) j’avais assemblée générale d’Air Nu (réunissant les historiques – les autres étaient excusé.es) comme un abruti à nouveau j’ai oublié la photo – tant pis c’est ce mail – en y allant cependant

ou encore (travaux presque terminés d’un des plus jolis immeubles de Paris – et donc de tout l’univers, comme on sait)

sans un regard à l’arbre Rampal (hier j’étais paumé – malgré les sauces, malgré les images de photofiction un bis : j’arrête là, j’en ai terminé avec Bastia) – malgré les images du voyage

avant de m’attaquer à la glycine (après avoir cueilli des mûres) de revenir dans ces saloperies d’embouteillages que décrivait Adorno ou quelqu’un de ce genre (je veux dire un philosophe – ça va me revenir) avec un lever de lune somptueux sur la Défense (sans image non plus – mais j’en dispose de celui sur la campagne : ce sera pour demain) aujourd’hui est un jour sombre

l’image est améliorée par un robot – c’est moche (c’est un jour sombre quand même) la voici en « réel »

qui est tout de même mieux (les images on s’habitue : on en voudrait tous les jours) ici l’annexe

(je me suis cependant réjoui apprenant que le secrétaire général de « l’institution faîtière » (sic – c’est beau comme ce qu’elle recouvre) du comité olympique pour les jeux de vingt-quatre s’était fait lourder par sa cheffe (signe avant coureur (ce serait le cas de le dire – CSLCDLD) d’un fiasco ? ce serait trop beau…))

et puis ce sublime cadeau (encore merci) qui se trouve sur la gauche du rédacteur, en son petit bureau au mur

La Salute, vue de sous le pont de l’Académie, à la nuit – ici en l’honneur d’elle qui s’éteignit ce jour, voilà quatorze ans – que la paix soit sur son âme

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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4 Comments

    et pour qui n’est que témoin du peu qu’elle peut comprendre… c’est beau

  • @brigitte celerier : désolé d’être aussi abstrus… Mais merci à vous

  • En cas de rationnement (il va falloir ressortir tout le vocabulaire des années 39-45 en cherchant dans les livres idoines : « tickets », «  »bons », « coupons »…), je saurai où trouver de la sauce tomate !!! 🙂

  • @Dominique Hasselmann : je me suis déjà séparé (en cadeau -l’un à Z., l’autre à A.) des deux pots de gauche (va falloir te dépêcher) – merci à toi