Pendant le weekend

2667 Mardi 16 Avril 2024

 

 

 

à la table pour la 4 – tranquillement souvenirs et lectures – parfois un beau ciel, parfois des difficultés insurmontables – les « je n’y arriverais jamais »et les »envie de tout foutre en l’air »comme dans cette chanson idiote titrée Rosieles saloperies de l’actuel gouvernement – le reste des choses – au parc on géomètre

une des plus belles images jamais produites

(des quelques ami.es photographes que j’ai eu le privilège de connaître à travers leur art et leur pratique et leurs usages et leurs volontés buts ou désirs, jamais aucun.e) (cadrage surtout – le rideau comme celui d’une scène) (le souvenir de Blow up (Michelangelo Antonioni, 1966) (j’avais oublié la musique due à Herbie Hancock – mais pas la production d’entre autres Carlo Ponti) – marche (on écrivait sur les rebords du monde)

et bien sûr lectures aussi bien, à cause de la 4 retourner à comprendre (sans majuscule) et au Postscriptum (avec, lui) (c’est sans doute un peu con de dévoiler ici ce que la consigne ne demande pas de taire certes mais enfin, pour les happy few

– je déteste ce genre de pratique) qui d’ailleurs (la 4) n’est pas complètement terminée – au passage ces menus : ici, simple et d’assez bon aloi (pas tenté)

avec du veau pour Lulu – un peu plus cher (et plus évocateur d’une espèce de soin porté au minimum à la description) (pas tenté de tenter)

on a sacrifié à la mode (quiche aux orties – je la préfère nettement lorraine) pour recevoir une Z. toute heureuse –

dehors le prunus verdissait

il y avait fin de semaine dernière le salon du livre mais je n’y fus point – je n’y vis point mon amie Mijo, elle n’appela nonplus point – elle devait être à la petite égypte (on ne peut pas tout  faire)

 

au cinéma  Le mal n’existe pas (Ryusuke Hamaguchi, 2023) inspiré d’une musique dit-on (due à une compositrice, Eiko Ishibashi), cadrages lyriques et argument contemporain (on ne doit pas couper les arbres sauf pour s’en chauffer, ni empêcher les cerfs de gambader…)  seulement la fin est sans commune mesure avec cette violence (le titre du film est un faux pas) et partant incompréhensible (on ne demande pas d’explicitations, on n’estpas complètement abruti par la ville,ses miasmes ses fantasmes, non, mais une explication, oui) (primé à la Mostra l’année dernière – deux fois…)

 

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4 Comments

    la 4 (séduisant thème) pas commencée… me sens un peu trop étrangère à ce monde de l’écrit…
    mais belles images ici
    et j’aime ce que ne comprends pas (aimerais ce fllm ?)

  • Il y a aussi une belle bouche d’incendie dans la galerie qui conduit tout en haut à des expos du Centre Pompidou… Les ready made sont toujours là ! 🙂

  • @brigitte celerier : un peu trop elliptique je crois (pour moi c’est certain) – mais oui : la musique en est vraiment magnifique – et les images…mais oui. Merci à vous

  • @Dominique Hasselmann : yes ! (sur les bords du champ…) Merci à toi

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