Pendant le weekend

2357 Vendredi 25 Octobre 2024

 

 

 

période de doute – mais comme il fait beau, marche débraillée longuissime – pendant ce temps-là je ne fais pas autre chose, ce qui est un avantage – il y a quelques jours je m’étais assis et avait commencé à écrire au stylo dans le carnet mauve offert par A. quelque chose qui avait une relation bien lâche avec la consigne (que je n’ai pas comprise bien que l’ayant relue et me souvenant du pavé (dans l’eau) de PP (j’ai lu livre de poche 859 pages, 9.9 euros) – j’ai retenu le point de vue – j’ai continué taleur – je vais relire, mais en tout cas j’allai à Ground Control chercher le livre du collectif Wu Ming Ovni 78 indiqué si obligeamment par l’amie bayeusienne (encore merci Kik) – chroniqué par le libraire dans le canard (libertalia, 660 p. 13 e) – croisant ce spécimen (#450)

médicis en diable – assez moche aussi pourtant – on avait sur la façade de l’hôtel posé les luminaires en lanternes

mais pas encore la plaque (pendant ce temps-là, le prix nobel de littérature 2016 devait s’installer quelque part entre le ritz et le georges vé – ou ailleurs où il doit se trouver au moment où j’écris ces mots – ce soir complet aussi – place vers 350 euros le carré d’or comme ils disent – le notulographe s’y trouvera il me semble – au concert pas dans le carré (encore que pourquoi pas ? chacun fait de sa pension ce qu’il entend) – il y avait au sol ces céramiques (autre genre de plaque)

je les dépose mais ne les goûte guère

pourtant quelque chose (d’assez beau mais) qui me met mal à l’aise (je ne saurais exactement exprimer pourquoi ? sans doute parce qu’on peut y marcher comme sur une déjection canine (ou le minuscule nano 1 – mais du pied gauche (comme disait son ami mon Jacquot) sans s’en rendre compte ?) je préfère ceci

tant qu’à faire – boulevard henri 4 – paris, une messe tout ça etc. – sans m’arrêter (trop onéreux, accueil déplorable)

il devait être quelque chose comme midi trente treize heures – deux livres en cadeau supplémentaire pour l’ami du 53 (dont les Archéologies ferroviaires (Bruno Lecat, éditions Jou, 10 e)) – et back home par faidherbe voltaire parmentier (une bonne dizaine de kilomètres dans les pattes – pendant ce temps-là je ne fais pas autre chose – et de même vers quinze quinze départ pour la reprise du séminaire à Dédé – pas à pied cependant (je devrais retranscrire mes notes de temps à autre – en ce qui concerne notamment la photo de 1890 à 1930 et sa tendance à la retouche) (on s’intéressera aux discours et pratiques au sujet des images de synthèse, histoire des médias etc. je suppose si j’ai bien suivi compris assimilé – douze séances)

merci (aussi) à lui

 

en maison[s]témoin un billet de prix (c’est toujours ça) (de pris)

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2 Comments

    bravo pour la marche (en ce moment du mal pas tant à cause des jambes que de l’ennui) et bravo pour tout ce qu’elle a inspiré (ou qui l’accompagne dans le billet… admire l’ouverture)

  • @brigitte celerier : merci encore (ici comme là-bas)

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