Pendant le weekend

(2607) Carnet de voyage(s) 151.3

 

Le musée se trouve sur l’autre rive (champ puis contrechamp)

le Guadalquivir, rive droite donc – on arche un moment(ici le modernisme, une allégorie – repas rapides (chiens chauds) et vélos de location)

pour trouver le centre d’art contemporain d’Andalousie –  dans les locaux d’une ancienne usine de céramique (la Chartreuse)(sous ce lien, vers le site du centre – mais ces temps-ci les expositions actuelles : la visite ici date de début avril)

lieu magnifique (même avec une petite pluie)

c’est au fond, là-bas

on croisera cet homme-orchestre en représentation muette

on parvient à l’entrée – ici vide, ou presque

elle est libre pour les habitants de l’union européenne – ici, dans une salle à gauche,  se trouve la pléthore de bonbons bleus déjà mentionnée

puis une grande exposition de photographies – magnifique – je n’ai gardé que celles qui m’ont particulièrement attiré – nombreuses – dans un lieu magique – ici une des égéries (au fond, droite cadre Bette Davis, sans doute dans Qu’est-il arrivé à Baby Jane – avec mes excuses à l’artiste photographe, je n’ai pas pris son nom)

puis deux autres

les fascistes (femmes)

et l’anarchiste (seule, une femme aussi)

vinrent ensuite une certain nombre de portraits

une dizaine – ici à Madrid

puis à Tokyo (deux fois)

(on pense à B2TS, certes)

puis à Manille

de nouveau à Tokyo

deux fois encore

à Dehli

puis Pékin

enfin par deux fois encore Tokyo

une si belle jeunesse

vint ensuite quelques images d’architecture : notre monde

comme indiqué sur le cartel – Arizona

maisons « surprise »

en train de se construire

drôles d’impressions – notre monde – d’autres images d’architectures difficiles

Paris 13

et Bangkok

monde moderne – contemporain – chez nous – puis en noir et blanc, ma préférée durant cette visite (la famille 1965, crois-je souvenir – Francisco Ontanon)

et d’autres, moins gaies certes (Barcelone 1962, Xavier Miserachs)

Joan Colom (Barcelone 1958)

après je ne sais plus – mais les sourires et les courses cependant que la foule défile pour un enterrement je crois bien

et cette équipe de football

en entrant et en sortant donc, on ne peut guère s’en passer : une fois (enfin deux)

deux fois (quatre)

trois fois (huit)

il y eut cette fenêtre

puis cette autre

puis en sortant de l’exposition temporaire, ces céramiques historiques probablement

magnifiques

on s’en va

une merveille…

 

La suite au prochain numéro, à Grenade
Dans ville& cinéma, pour L’aiR Nu ce jour, Voyage à Gaza

 

 

 

 

Share

Laisser un commentaire