2579 Dimanche 14 Septembre 2025

je ne suppose même pas que la moviala ait été l’une de mes premières amour (l’un de mes premiers amours ? l’un de mes premières amours ?)(je ne sais pas – Grévisse à l’aide) (mon exemplaire a péri dans la suie l’eau et les flames) mais voilà que je m’y remets copiant image fixe sur image fixe du film Sois-belle et tais-toi (Delphine Seyrig, 1975) donné gratuitement en ligna par la bibliothèque nationale en son site Gallica (signalé par Anne Savelli qu’on remercie ici) – vingt-trois actrices et metteuses en scène parlent du cinéma et de la condition disons féminine (tout simplement extraordinaire  je me demande (mais je ne regarde pas) si l’avantscènecinéma  tout attaché produit le découpage plan à plan – j’ai de ce fait une pensée pour Claude Beylie et son studio de Cannes) – j’y travaille – ici Louise Fletcher (image due au hasard – disons encore)

(on reconstitue un peu la question posée (mais coupée au montage) par la réalisatrice « avez-vous voulu devenir actrice ? » quelque chose comme ça – formidable) – l’effet est évidemment de repousser à nouveau aux calendes Aldo, Norma et les autres  puisque la liste d’attente implique aussi des lectures (zones grises (le sentiment d’en savoir beaucoup sur cette famille) plus histoire d’amour et de ténèbres) – je n’ai le temps de rien
hier il y avait cochon charcutière duo d’haricots au menu du dîner avec les amis du 53 (réparation de la tronçonneuse, augmentée de l’évaluation exacte du prix du changement de l’embrayage de la caisse : mille euros)