2608 Lundi 13 Octobre 2025

(pari perdu : la teigne reste (combien d’heures, c’est assez difficile à envisager : autant qu’une garde à vue ?) rue de Valois malgré les consignes de « son »parti – elle ne lui appartient plus de ce fait – d’ailleurs s’appartient-elle seulement ? on peut en douter – peu importe j’ai perdu : cependant en rêve j’avais en ma possession un billet de loterie rose et gagnant sur lequel était inscrite la somme rondelette de mille euros, quelque chose d’heureux dans un futur proche prémonitoire j’aime à le croire ou seulement supposer analyser préférer voir subodorer supputer espérer)

l’automne pas vrai – le tour au parc, les bipèdes qui courent achalandés en couleurs vives criardes parfois accompagnés de leur jeune progéniture, en vélo casques aux oreilles, la fin de semaine est faste aux sports – on élimine le stress de la semaine – on court on marche on parle on crie on chante – une belle journée (quelque chose avec les échos d’avions au ciel quand même

ça vous a quelque chose d’un peu spécial

regarde devant toi quand même m’exhorté-je

) les années de Virginia Woolf, plus la bio de Bette Davis (on n’y fait pas la moindre allusion à son « refus » (entre guillemets donc) de jouer dans Un tramway nommé Désir – osef un petit peu) et allant à l’inauguration

puis déjà croisé à plusieurs reprises

des images automatiques du nino qui parfois en fait des siennes

mieux que la suivante crois-je déceler

feuilles mortes au zoum – pas de cinéma, des papardelles à la bolognaise, le marché (un joli poivron jaune, quatre tomates deux avocats et deux citrons)

apparemment on (j’ai) a besoin de couleurs – je tiens je relis Norma n’y trouve rien à redire – quelle est donc cette attitude de ne pas finir ce qui est entrepris ? c’est égal, je tiens continue – ici une espèce d’auto-portrait (mais l’image était tentée pour le chapeau jaune, au fond, quelque inscription invisible et oubliée)

(un couple anglophone en tout cas – quel beau regard camera hein) (la lettre mensuelle en préparation – félicitations à Christine Jeanney) et puis ces travaux rue de l’Ourcq (sous les voies désaffectées de la petite ceinture)