Pendant le weekend

2661 Vendredi 5 Décembre 2025

 

 

 

hier aller à Reprendre la parole manifestation de trois jours dans le genre des états généraux de la culture (on se souvient de Jack Ralite) en partant cette nature morte à la porte

arrivé là

je pose mes notes de la conférence de la conférence donnée par Jean-Yves Masson (critique littéraire) intitulée Raconter le conte

Le conte pas soupçonneux / la fiction heureuse / mauvaise conscience de raconter bannie / une certaine innocence / c’est redire sa réécoute et toujours la même / un rituel et une initiation / la parenté du conte avec le rêve / la légende c’est ce qu’il faut lire; le conte c’est ce qu’il faut transmettre / ce qui se transmet / réf :  Walter Benjamin dans Le conteur (ou le narrateur) transmission d’expérience  vertu initiatique /pas de morale contrairement à la fable / les récits les histoires les nouvelles / transmet une sagesse / le théâtre aussi réf : son très cher Hofmannsthal (Hugo von) la scène est le théâtre du rêve / l’imagination le propre de l’humanité / le droit à revenir à une fiction heureuse

Magnifiquement

Vinrent ensuite Irène Bonnaud (metteuse en scène) et Éric Feldman ((comédien auteur) tout aussi magnifiques

le récit de Eric Feldman sur Lucien (formidablement lu) – celui d’Irène Bonnaud sur la ville d’Épire Ianina et la déportation de tous ses juifs en mars 44 (Stella Cohen, les 4 photos d’Alberto Errera le sonder commando Marcel Nadjari) – le froid des signes mais les trois révoltes, Sobibor Treblinka Birkenau – mais aussi les chansons qui servent de code et l’humour (en un mot comment ça va ? bien ! – et en deux ? pas bien !)
continûment aujourd’hui et demain

la suite (je vous ai manquée, Alexandra) mais à l’inha, l’après midi, a été le séminaire et la doctorante Juliette Devaux présentant son travail de thèse sur la série coréenne Squid Game ce qui ne me réconcilie guère avec le genre (osef)

des fleurs pour mon frère

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