2662 Samedi 6 Décembre 2025

retour vers le vieux colombier – ce matin ce ne sera pas le cas – l’ambiance y est chaleureuse,on se salue poliment – au programme (je ne cite que les intervenant.es) Caroline Lamarche (je suis arrivé trop tard) mais expérience lgbt entente compréhension : une belle liberté, Johanna Chapoutot (plutôt calme mais incisif) et Lionel Ruffel (excité) mais formidables tous les deux (notamment les diverses fausses connaissances qu’on a dans l’opinion du régime nazi – Les Irresponsables titre phare qui pointe un peu vers L’ordre des choses  d’ÉricVuillard ) – Marie Nimier, de même formidable (avec ses deux conversations dont l’une tunisienne) et Jacques Gamblin, certes cabotin mais revendiqué (il était sur scène, il s’agit d’un habitus – pour lire ses propres textes, il se lève)

on l’aperçoit, il revient du Charles de Gaulle, lit un peu de Mère à l’horizon je cite de mémoire…) (chez robert laffont) repartir gaiement – ici un appel

la publicité cette plaie ouverte et purulente – ce gâchis inepte – dans les vitrines du quartier un luxe obscène – cette horreur – bizarre comme le monde est si différent  des paroles données dans cette réunion – ou alors c’est juste moi – j’ai oublié de passer à la librairie voisine, nouvellement installée, je fuyais je crois (j’apprends à cette occasion que le verbe fuir s’énonce et s’écrit de la même manière au présent et au passé certes simple mais tout de même – l’orthographe,la grammaire la syntaxe hein)  pour me procurer le Saint Luigi (Nicolas Vramont, 3L), au repas Bruxelles avait apporté une quiche aux poireaux – puison s’en partit au ciné (de retour, quelques courses chez l’épicier sri-lankais (à moins qu’il ne soit tamoul) du coin louis-blanc/pardonnet (je balance) où on me vendit une demi-livre peut-être de ceci

pour ce que j’avais identifier être des épinards – feuilles de liseron si j’ai bien compris – le portable était resté à la maison-

au ciné donc Fuori (Mateo Martone, 2025) qui n’a rien décroché à Cannes ce qui étonne un peu (c’est un cinéma plutôt classique, sans doute) (mais le prix d’interprétation féminine aux trois femmes qui jouent là aurait été bien – il est allé à la jeune femme qui joue La petite dernière (Hafsia Herzi, 2025) qu’on n’a pas vu) (Nadia Melliti) – mais je m’égare – trop bien même si je n’apprécie que moyennement le premier rôle (Valeria Golino) (est-ce bien le premier rôle d’ailleurs ? Roberta tient l’écran et se défend son rôle magnifiquement (Matilda De Angelis)) et que je déteste le fait de porter sur l’affiche une image qui ne figure pas dans le film – encore une publicité laquelle, comme toutes, ment éhontément (ça ne fait rien, on fera peut-être un truc sur Rome quand même – après Glasgow ou Edinbourg))