Pendant le weekend

2567 Mardi 2 Septembre 2025

 

 

j’étais au marché elles étaient loin devant – qui étaient-ce ? je ne sais pas – nous allions au marché mais quelque part assez loin, genre alex-dumas ou quelque chose dans ce coin, fin fond du onze – nation peut-être pas – il y avait là des bottes d’artichauts j’en aurais bien pris pour une barigoule, des cardons du céleri – pas de prix mais il se pressentait une solde – l’euro tout au plus – pas de tomate, pas de citron – puis plus rien, la place était vide mais où était-elle ? et où étaient-elles ? je crois celle des Ternes mais vide, vidée ou quelque part – je les ai cherchées : rien ni personne, je me suis dit j’irai plus vite en métro, j’ai regardé mon nino : 414 messages – quelle drôle d’idée – j’avais à l’esprit 1516 je ne sais trop à quoi il correspondait – j’ai regardé les messages, une image toujours la même (un type assis dans un train me dis-je : celle-ci

mais plus dans les ocres – il s’agit d’une image prise à Yi yi (ça c’est fait) – il se peut que ce soit une reconstitution post-rêve), j’ai fermé le truc, mis dans ma poche, il y avait là une bouche, j’y entrai descendais, un type devant moi passait par la sortie, je suivis, en bas des marches pour aller vers Belleville, trois contrôleurs gros gras hirsutes menaçants « votre billet s’il vous plaît » je suis passé par la porte dis-je le tendant « on connaît ça » ils prirent ma carte et montèrent les escaliers, deux ou trois volées, difficilement et je restai là et le métro arrivant j’y montai
hier lecture (Dossier K) puis un peu de Paul Auster Excursions quelque chose – travail aux images italiennes (Tortoretolido en CdV) – administration – je fatigue je garde mes articulations en l’état j’écoute de la musique (alertez les bébés puis fourmis rouges puis et encore) je pense à la plage la pluie tombe drue et en avance crois-je me souvenir –

une image que j’aime beaucoup (il s’agit de je ne sais quoi des travaux adjacents) – travail à la table pour le billet Yi yi de ville&ciné pour L’aiR Nu (anéfé) – à ce propos restitution du « Par là Paris » auquel j’ai l’honneur de participer (pour le projet Jacqueline – je l’aime beaucoup, je vais abonder) (on me trouve rue Denoyez et rue de Tourtille Paris 20 Belleville) – fort belle réalisation (qui donne lieu à certain prolongement (un ami perdu de vue depuis cinquante ans réapparaît) dont je parlerai sans doute s’il se réalise : j’aime assez ces hasards bien qu’ils m’effraient aussi) – nouvelle préparation très contemporaine (boulgour slash quinoa à dix euros le kilo quand même – furieusement contemporain, manque le sorgho et le lupin et l’affaire sera complète)

et le soir pure merveille en demi-lune

(l’image est manquée, tant pis pour elle)

 

en face Mataharis (Iciar Bollain, 2007) très réussi (de la même réalisatrice on avait vu  L’affaire Nevenka il y a peu) (on l’aime bien) une resplendissante Maria Vasquez (le Matrias était aussi formidable : on en rend compte en maison[s]témoin – il faut que j’y pense mais un mail à GV est resté sans réponse (en vrai non) – elle va venir, certes, en tout cas je l’espère) mais au vrai les trois actrices sont formidables (Nuria Gonzales et Najwa Nimri)

 

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1 Comment

    hop hop, je vais donc suivre les liens air nu et maison, hop :-))

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