Pendant le weekend

Douze dix quinze

(Trois z quand même pour trois mots du titre-tu me diras hier aussi, sauf que deux fois le même) (personne suit ou quoi ? on est le mois numéro dix) La vie est belle : les gens qu’on côtoie sont agréables, ils vous aident à penser, vous permettent de vous exprimer, c’est fait sur le mode spontané, sans perversion, avec élégance et gentillesse, c’est juste magnifique : la vie est belle (cinéma : on a vu « Asphalte » (Samuel Benchetrit, 2015) qui se trouve être plutôt bien – jm’en vais taper un billet pour la maison, ça lui fera les pieds-à Asphalte, pas à la maison) (la solitude, dans cette maison, parfois)

fernadeniro

(à l’image l’avers des billets – j’ai eu droit à la réduction pour les vieux : « mais si vous ne le le dites pas je ne peux pas le savoir » a fait la caissière-la bonne foi du tiroir-caisse, comme à l’accoutumée) (billet emprunt d’un certain cinéma – tout y est faux, sauf le jeu des acteurs du film -pas Fernandel certes; on voit l’autre ces temps-ci sur des affiches spécial comédie de moeurs étazunienne probablement pour se refaire une virginité : ça fait froid dans le dos)

avion ciel cité

(ça  c’est de l’image)

 

 

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