Pendant le weekend

Vingt quatre vingt cinq – deux cent dix onze

 

 

Vu dans une librairie toute neuve (divan convention)

manuela

ce dessin photographié couverture du livre qu’elle promeut ici ces jours-ci (elle, c’est le maire de Madrid) (ou la maire stupréfères) (un peu comme celle de Rome qui envoie paître les jeux olympiques si j’ai bien compris – tout ça pour te dire qu’il y avait aussi dans cette librairie une régionale de l’étape, soit le maire de Paris aussi -elle vit dans le quinze, qu’est-ce qu’on y peut ?) (stuveux) (pince fesses on va voir on se pose on rencontre des locaux – un homme qui n’a jamais été libraire par exemple, un autre qui vend des tablettes, un chef des ventes, une directrice de distribution, enfin on fait son boulot l’aiR Nu) (cette municipalité-là qui interdit aux vieilles caisses de circuler mais qui aime que les uber et autres ordures quatre quatre vitres teintées etc. roulent ma poule) (c’est pas parce que ce sont des femmes qui sont aux commandes – enfin quelles commandes, hein- que les choses vont spécialement bien non plus, ici du moins) enfin la vie de l’urbain sans doute (j’entends aussi malgré tout ces bruits abjects de suppression du pass culture destiné aux jeunes gens en paca il y a de quoi vomir : on a eu la même chose grâce à la présidente de région par ici – son fils va bien, oui, ça va aller – la droite va bien, oui, aussi) (la culture à droite hein, on n’oublie rien) j’ai aussi vu ça dans la boutique

alberto

Alberto clopo au bec j’adore le flou (vu « Comancheria » qui est bien -(David Mackenzie, 2016) le binôme de Marcus Hamilton (Jeff Bridges) s’appelle Alberto (Parker : Gil Birmhingam) aussi comme quoi, il n’y a pas de hasard) je vais au cinéma, ça me coûte les yeux de la tête, mais j’y vais je continue à annoter les poèmes express à Lucien (j’aime ça) (mon chou a viré Michel Ciment de l’antenne Q samedi vers 15 sous prétexte qu’il émarge aussi sur inter : mon chou est très à cheval sur le non-cumul des antennes, tu comprends, les choses sont ce qu’elles sont, les bureaux en palissandre et les voitures de fonction, on n’y peut rien, c’est comme ça, la vie) (cette pestilence…) 

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3 Comments

    belle la photo que je ne connaissais pas

  • @brigetoun : il s’agit de la couverture (retaillée) d’un livre de Franck Maubert, « L’homme qui marche » chez Fayard (je me fais ainsi l’homme sandwich puisque cette parution (janvier 16) précède de peu l’ouverture (début octobre) d’une exposition consacrée à l’artiste et Picasso (au musée du même nom, en cette Babylone…) : bah…)

  • On ouvrira des musées avec toutes les « vieilles caisses », les visiteurs auront droit à une file d’attente d’une heure pour admirer l’esthétique des années perdues et les moyens de circulation individuels (pouah !) autres qu’à deux roues ou deux jambes, et on dira : « C’est beau, la culture ! »….

    Tu as bien fait d’aller voir « Comancheria » : les carrosseries criblées de balles, il faudrait aussi les exposer un jour à Hollywood !