Pendant le weekend

Vingt huit dix (609)

 

 

croisé d’innombrables énergumènes plus ou moins maquillés fringués harnachés armés pacotilles quand même qui se figurent vivre et être dans un monde merveilleux (import USA direct je suppose) (ça ne me plaît pas) (ça me plaît d’autant moins qu’approche cette saloperie de truc anniversaire de la maison brûlée qui correspond avec cette ignoble mise en scène direct import US idem de fête à la con citrouille de maçon) (je m’égare un peu je le crains) croisé cependant ce spécimen ailé (fait penser au Négus et son effigie – et du même élan à Bob Marley et sa ganja) (le roi des rois, Rastafari en diable)

(on le met en #312, tant pis) qui montre les crocs (ce qui rappelle l’attitude de l’animal qui ornait les productions de ce charmant Louis B. Mayer – on se permet de rappeler à cette occasion (on parle affaires) pour tenter de fixer un peu les idées que cinéma et télévision sont les premiers postes financiers des exportations US (entrefilet – attention spoiler : sous le lien qui suit, un billet issu du journal de l’avionneur – bientôt condamné sans doute aussi, lui, comme nano 1 : enfin, s’il y a ici une justice (je suis naïf parfois, moi) car les affaires sont ce qu’elles sont)  sans écho dans le journal de référence qui paraît l’après midi (le « b » de bnp qui disait si bien le capital de l’organe a disparu, que la paix reste sur son âme), c’est dire si la nouvelle est vulgaire : l’ennemi juré (dit-on) du rappeur dont le disque est orné de l’animal ici représenté a pris cinq ans de prison ferme – il est d’ailleurs récidiviste, à ce qu’il me semble – pour avoir presque tué un jeune homme vendeur dans le magasin de vêtements de la marque qui appartient au rappeur – lequel magasin a été mis à sac, il y a eu d’autres blessés… – ce sont des affaires et comme on sait, les affaires sont les affaires – ces deux-là donc sont des hommes d’affaires, ils illustrent en cela les pratiques de ces milieux – ça se passait en avril 14, aux Halles, dans cette bonne vieille ville de Paris)

Tout ça pour vous dire que la culture populaire a de beaux jours devant elle.

Fermez le ban.

No movie, lecture de GE9 d’une érudition probablement étayée (j’ai adoré les items de 29 à 33) (je dis ça pour les puristes) (on remercie BV quand même)

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2 Comments

    et laissons le soigneusement fermé (même si malheureusement cela ne changera pas grand chose, ou rien)

  • Le lion rugissant (mais pas le gros cloporte vagissant sous le nom de Weinstein, avec sa société aux initiales de TWC…) est toujours alerte et nous ramène aux premiers fiilms vus, comme si on était au cirque d’alors…