Pendant le weekend

670 – 28_12_2017

 

 

(tu parles d’un trêve, enfin je bosse, c’est déjà pas mal – ils sont tellement nombreux que ça fait un peu peur – il y aurait une liste des métiers nouveaux à faire security/community manager par exemple – ou d’autres encore jeunes gens plus ou moins bigleux à 60k/l’an, inutile de le confirmer d’autant qu’on n’interroge pas les choses qui fâchent)  (comme au mensonge il y a trois ordres, l’oubli, la religion et la statistique, à l’enquête en face à face il y a trois questionnements directs interdits : le revenu, les pratiques sexuelles et la religion) (chacun sa déontologie aussi tu me diras) et donc encore et encore ça continue (comme dit la chanson) ici au métro après le verre pris avec E. et M. aux folies dans la série les musiciens du métro

aperçue hier dans un film annonce (je ne me souviens plus : ils passent, je devrais les noter ce serait un fait probant, une liste peut-être intéressante de tous ceux qu’on ne va pas voir, qu’on n’ira certainement pas etc. mais non) sa très gracieuse majesté E2 et je me demande comment elle se porte (après la disparition du rocker à la française, on s’attend à tous les bouleversements) (Suzy Delair – et son tralala – tape les cent piges le 31  décembre, tu me diras aussi) (je l’ai croisée hier aussi quelque part, lors de son allocution de 2015, il me semble qu’elle présente ses voeux au peuple) (STGME2 pas Suzy – Oh Suzy…! – on avait compris)

au ciné « Les gardiennes » (Xavier Beauvois, 2017) (au générique une certaine Madeleine Beauvois, probablement la fille du réal; prod Sylvie Pialat, image Caroline Champetier – la nouvelle tradition française; on fait ce qu’on peut – distrib pathé musique Michel Legrand) comme on dit aujourd’hui : comment te dire ? – à l’image un type dit « on va pas se mentir… » comme quoi, les dialoguistes n’ont pas peur des anachronismes)

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2 Comments

    comment te dire ? ne dit rien, sauf méfiance, du moins c’est ainsi pour moi

  • @brigetoun : en tout cas, merci de passer… (et bonnes fêtes)