Pendant le weekend

1872 Mardi 27 Juillet 2021

 

 

 

le vide abyssal (cette pourriture de consentement) – alors travailler un peu, lire (Sureau puits de science) (François, académicien, jésuite peut-être, rédacteur des statuts de En marche sans doute) (il me semble me souvenir de l’émission de radio de son épouse Ayyam – parfois lisant ce type de pavé (plus de 800 pages) j’ai le sentiment de tourner un peu vieux con – ça ne m’affecte pas outre mesure : je ne suis pas de droite) la tristesse mais le sourire quand même

il ne faut pas me demander pourquoi j’aime les œillets depuis ce 25 avril-là – il était de 36, il n’avait pas quarante ans – je me souviens des Mémorables de Lidia Jorge – commandé le Jean-Paul Sartre d’Annie Cohen-Solal sur momox (3.59 euros et est arrivé le pavé en allemand…) – commandé au libraire, 14,50 – « foutre! » laissé-je échapper à l’énoncé de ce tarif outrecuidant (un folio merde!)  le libraire (jeune barbalakon baskett jean slim maigrelet) a fait comme si il n’entendait pas, continuant de discuter avec son collègue derrière son plexiglas : tu vois, je m’en veux, j’aurais du le planter là – je voulais le livre, certes – tant pis – ici Camille Claudel et la Gorgone étêtée par Persée (la très grande classe)

je me demande où se trouve cette statue – attends que je regarde, au musée de Nogent-sur-Seine : yapluka (le Sureau n’en parle pas, dis-donc, alors qu’il t’entretient bien longtemps des bords de Seine et de ses sites (disons) remarquables (pour son Bramamko, sans doute, certes) (un peu comme Emma et son Gustave)- c’est le sujet du pavé)

l’auteur des Bob Morane (entre beaucoup d’autres), Henri Vernes (une bonne douzaine d’hétéronymes quand même) a clapoté à 102 piges – salut l’artiste (pas porté à l’inventaire du P4 – dont la rédaction est finie (sauf ajout toujours possible) – 1639 entrées quand même : il y apparaît une fois à l’item 29 (Jean-Marie Graas) qu’on remercie donc – ça ne mange pas de pain et ça a le mérite d’être poli) et puis pour finir

cette image merveilleuse ((c) Denis Pasquier) qui montre une apicultrice (je crois bien qu’il s’agit de M.) allant à ses ruches, vers les Pyrénées – là-bas, au loin, où brille la paix

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4 Comments

    le Sureau comme vous dites ma bienheureuse ignorance a été chatouillée (où avais-je rencontré le nom ? ouvert Wikipedia, pensé ah oui mai sans me souvenir à quelle occasion, sans doute aucune il y a des noms qui traînent comme ça dans la radio, et par cerné quel était le pavé)
    pour les oeillets les aime oui et pour les mêmes raisons (un faible pour ce peuple de toute façon)
    et merci pour la paix finale (réelle ?)

  • @brigitte celelrier : il s’agit de « L’or du temps »- et pour la paix, certainement quelque réalité (pour M. oui…)

  • Je suis frappé par la ressemblance de Carvalho avec George Clooney (il s’est acheté un petit vignoble près de Brignoles).
    Les œillets portugais – avec la fameuse photo d’une fille en offrant un à l’un des soldats en face d’elle – demeurent un beau symbole révolutionnaire.
    Un bouquin avec trop d’entrées : on se demande peut-être où est la sortie ? 🙂

  • @Dominique Hasselmann : pour les entrées, les participants à l’atelier sont assez intarissables, comme tu vois – ce n’est pas un bouquin, juste une liste…