2788 Mardi 7 mai 2024
j’allais au Paris-Rome (une espèce d’habitude – éloignée, certes – j’aime assez ce voyage (qui m’indique la Modification butorienne) – passant là

un peu de contre-jour, un peu d’empêchement

non mais j’aime assez passer par là – une espèce de volonté de rendre compte

le voyage, les travaux en ville

le bazar usuel et urbain – Paris n’est qu’un chantier perpétuel

ici l’hôpital qui tel la bébête

monte monte monte

comme on voit,les arbres tentent de survivre – la ville – je me souviens de l’effervescence des végétaux durant la « pandémie » –

je me souviens, j’oublie

en effet, ça promet… le komboloï livré (c’est sans image, dommage : le destinataire n’a pas ouvert le paquet, il était en compagnie d’un de ses collègues d’école de cinéma,un voisin, Paulo jamais vu – on a parlé ciné) (fatalement) je suis revenu par le même chemin – sans image, je (re)lisais Les Mémorables (Lidia Jorge, métailié 2014) – à la maison, le plat de falafels –

persil du balcon – délicieux
Un texte pour la piétonne de Marseille – on en reparlera sans doute (et voilà…) que Laure Humbel en soit ici remerciée
Le cours des jours s’estompe – back in Babylone fin de semaine
dans le poste L’emploi du temps (Laurent Cantet, 2001) glaçant


m’intrigue cette histoire de texte pour Laure…
vais être de pus en plus en remords de ne lire qu’une infime partie de ce que donnez tous
@brigittecelerier: c’était une espèce d’invitation faite par elle – et ici le voici publié ce texte. Merci à vous
Certaines photos mettent l’eau à la bouche… Bon voyage ! 🙂