Pendant le weekend

2619 Vendredi 24 Octobre 2025

 

 

je me fais du mauvais sang – ça ne se dit plus tiens, on dit plus pas de souci – parfois ils sont au pluriel mais rarement – Charlebois avait dans une de ses chansons un « cauchemar mauvais sang » (eh non, c’est mauvais sort » une histoire de famille…) – en tout cas je ne vois plus paumée brigetoun brigitte madame celerier et ça me désole – j’attends (je sais faire) mais ça ne m’aide en rien – patience

le séminaire avait lieu et j’y fus puisque le départ a été reporté pour cause indéfinie,probablement météorologique (on y parla de barthes, morin, bourdieu et passeron, un quarteron de savants penseurs (edgar reste parmi nous, il tape les 104 – je les souhaite à mon amie paumée) – il plut, venta, mais on partit quand même

au plus vieux ciné de paris (dit-il)

en métro (dire que le type qui tient le bar se la pète serait édulcorer ses manières : je m’en garde absolument) rideau rouge

et appliques cocteauïques

bienvenu – on était dix

 

or donc Météors (Hubert Charuel et Claude Le Pape, 2025) une histoire d’amitié en pays lorrain (on penserait bien à Bure et à ses luttes mais foin des luttes, l’histoire est intime, mâtinée de mœurs professionnelles cependant) – on ferait bien le parallèle avec Ari et Nino  (la maison[s]témoin ne marche pas – on a sans doute oublié de régler quelque facture) en déterminant ce qui se retrouve ici et là-bas – la danse, le danger, mais pas les filles ni les parents – en tout cas très bien (on se souvient du Petit paysan aux trois césars augmenté d’un Swann Arlaud et d’une Sara Giraudeau) (collaboration étroite des deux réalisateurs made in fémis  – masculins – la qualité française peut-être bien) (on est content pour eux, qu’ils continuent)

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