2631 Mercredi 5 Novembre 2025
(comme elle est de 26, ça lui aurait fait 99 et elle nous aurait dit « arrêtez de m’emmerder avec ça hein » allumant son clopo – bah ça va) maladie fièvre sueurs tressaillements et frissons – un peu de marche quand même (là les livres de la bal du parc

ah oui quand même – descente vers Belleville où l’arbre rampal est définitivement éradiqué

quelques courses (du lait) entrevue avec le gardien de Robert H. jamais vu – lui non plus si on va par là – les modalités des fêtes avec A. – la fatigue pesante – ici le matin

là le soir (elle est venue seule, H., et s’en est allée sans presque aucun bruit ce matin vers 5 et demie)

l’après-midi au « colloque » de l’association treize-onze-quinze – six oui huit pages de notes de carnet (à reproduire peut-être bien) : le thème « comment en est-on arrivé là » – en repartant « j’ai la fièvre dans le sang/ cette histoire je le sens/ne finira pas sans /effusion de sang » (singing by Alain Chamfort le bien nommé) et trois soupiraux pour l’Employée aux écritures

bah (ici plus pour les feuilles)

et là pour l’ocre romain

retour à pied – crevant –

mais à pied (paris est de plus en plus pourri – en passant parle palais royal – la splendeur crépusculaire

l’ancienne poste centrale – ce luxe odieux – dégoût profond de « l’hyper-centre » cette horreur) – et puis le prunus

en face les trois derniers épisodes (l’assaut, le happy end – non mais ça va bien) du Des vivants


J’ai vu la série sur France.tv avant qu’ils ne commencent sa diffusion lundi dernier sur France 2. Une réussite pour un sujet aussi casse-gueule, prouesses du scénario, des dialogues, des cadrages, du son.
J’hésitais avant, je ne n’ai pas regretté après. 😉