2659 Mercredi 3 Décembre 2025
au lieu de travailler à Norma (qui est presque abouti bien que trop court comme toujours) ou autres, il faut que je marche fasse des courses me perde ici ou là – le dos va mieux – le projet de découpage plan à plan (pratiquement) de sois belle et tais-toi se tentera sûrement ce mois-ci (jeudi en tout cas visite probable au vieux colombier) – il y avait ces travaux toujours

les choses avancent – on ne peut pas suivre leur cours, juste les fixer un moment partiel – au marché des poivrons du pain et des coquilles saint-jacques (16e les deux kilos – pour un des réveillons je suppose) – j’en sais rien je n’aime pas ce mois, pas pire cependant que le précédent, lequel est plus agréable que le précédent encore – la fin de ce trimestre, en apothéoses festives, met un terme à la perte des lumières (série néons, par trois fois)



sous le signe l’égide la protection de la publicité – je crains de me fourvoyer (de la vodka, des noix de cajou, du café moulu soi-même, du sucre, des œufs et autres chez le vraqueux) j’avais l’impression de quelque chose d’assez beau mais en réalité non – rehaussé de couleurs mais non je ne crois pas – pourri ou frelaté sans doute, contemporain c’est certain – cette machine (4 pattes refroidies par air de probablement 80 chevaux)

mes quinze ans – marche donc longue puis dans l’autobus de retour un homme fatigué

la lecture du Fado Alexandrino (ALA, 1983) pas terminée tout de suite (600 pages…)
dans le poste Without a clue (Sans la moindre idée – traduit en français par Élémentaire mon cher Lock Holmes, Thomas Eberhardt, 1988) parodie comique des enquêtes du détective

