Pendant le weekend

Cent-deux

 

(les temps sont durs j’en appelle au médiateur de la République -à ce propos, tu sais quoi ? il n’existe plus -nano ce j’enfoutre l’a évacué dans ses « réformes »- non au défenseur des droits afin qu’il m’aide dans mes démarches pour tenter de me faire entendre du bailleur -il baîlle, zéro réponse toujours) (merveille du monde : je n’ai pas été voir la page de l’impulsif solarien -comment dire ?- (ah punaize de mise à jour immédiate : l’avion survole NYC au moment même où je vous parle… quelle aventure se posera à JFK à 4am local soit dix à peu près d’ici) (il s’est posé le bougre) mais je m’en fous vu que, dans le métro j’ai croisé un des parrains

parrain vers louis blanc

on ne le voit pas très bien, mais c’est lui, il m’a regardé comme on regarde quelqu’un qu’on connaît, pertinemment, et qu’on sait bien que le quelqu’un en question vous connaît tout autant) (ce genre de regard, j’adore : mais ça ne se capture pas…) (aujourd’hui je tape soixante trois quand même putain) (sur les ondes de mon chou -alias wtf palissandre nom de code – sans compter les voitures de fonction, les cabinets de communication, les repas cinq étoiles j’en passe et sans doute des meilleures – on n’entend bruire que ce soit cul int blu mu pif ou infodlamerde que le truc qui se joue à onze  et où les frisés (ça ne se dit plus, non)  gagnent à la fin, c’est à ne pas croire) , marchant ensuite, je suis allé croiser en librairie ce joli livre dont l’image de couverture fait référence à notre travail bientôt publié

changement à vue bailly chemetoff

j’ai continué mon chemin (je bosse, je m’entretiens avec mes collègues afin d’étayer ma contribution de septembre, mais malokrâne persistant)

 

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1 Comment

    Au moins on ne bâille jamais devant Bailly (Jean-Christophe) !