Pendant le weekend

Cinq dix cinq cent quatre vingt quatre

 

passer par la gare (je vais prendre un café au Paris-Rome)

temps radieux on peut dire (outre la météo, quoi dire ?) (compta, téléphones et mails ?) (les roses ont tendance à me manquer, j’ai beau écouter un peu ici ou là les arguments du genre « ils sont en train de vendre tout Paris au Quatar » ou ce genre de rigolade, entendre ou lire ici que des associations de riverains se mobilisent contre cette horreur de tour triangle, je ne me promène même pas) ici ce qu’on peut voir du pont du boulevard des Batignolles, au dessus des voies de Saint-Lazare

(on a quand même mis en boite une lecture de quelques phrases d’Allegra du regretté Philippe Rahmy, une espèce d’hommage) (on a aussi tenté de terminer ces affaires de Venise, mais je me demande comment se nomme cette maison du tourisme, sur le quai, je croyais Ca di dio, mais je ne retrouve plus cette appellation, j’ai du la rêver – pourtant l’officine n’a vraiment rien de spécial)

puis de retour, apercevoir ces travailleurs qui fument sur le balcon de cette maison-un bureau de régulation si tu veux savoir) (j’invente, et alors ?)

continuer cette administration, répondre aux mails, en écrire d’autres, faire des comptes comme s’il en fallait, des formulaires, M2 dit-on puis M4, et quel beau pays (les psychologies comparées des tueurs de Marseille et de Las Végas dans le poste)

celle-là a été prise à l’aller, en effet, mais cette dernière ( sans forfanterie, je la trouve magnifique, magnifique)

rien de spécial, la rue Louis Blanc qui va à Col Fab juste, à Stal capturer celle-ci avec la compagnie de son animal (le regard du type bord cadre à droite dubitatif…)

la même (les mêmes) au carré

(il n’y est plus, tiens, le type droite cadre) de retour à la maison, travailler donc encore, plein le dos, plus un rond les comptes ferment ceux de la banque, bientôt on remettra sur l’ouvrage le métier, mille fois peut-être, lectures et sieste quand même.

Le soir au ciné « Le sens de la fête » (Eric Toledano et Olivier Nakache 2017) comédie à base de mariage, ruptures et conquêtes, assez en forme (qualité française), embrouilles et micmacs marrants, belles amitiés, comme dirait je ne sais quel canard plus ou moins boiteux « pourquoi pas ? » (le binôme réalisateur a donné « Intouchables » (2011)(vingt millions d’entrées…) et connaît bien son affaire – direction d’acteurs, en particulier et casting d’acier : Vincent Macaigne et Jean-Pierre Bacri, splendides; Hélène Vincent suprêmement juste; la jeune Eye Haïdara : dla bombe…!)

En prime celle-ci, ça c’est Paris

 

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3 Comments

    Il faudrait entourer ces tours Eiffel d’un périmètre de sécurité, on ne sait jamais (oui, belle photo à Stalingrad en plongée et mouvement)…

  • la vie comme elle va, quoi ! 🙂

  • @brigetoun : voilà… :°))
    @Dominique Hasselmann : Merci… (c’est à la Chapelle mais on s’en fout, c’est juste à côté)