Pendant le weekend

Mardi 8 Octobre 1212

 

 

 

que penser d’un chef d’entreprise qui, au suicide d’une de ses employées, cadre fonctionnaire, qui plus est à cause des conditions de travail qu’il lui fait mener (la sujétion ça s’appelle) sur les lieux-mêmes de ce travail, croit bon de dire « j’adore pas le terme pénibilité pour le travail, ça donne le sentiment que le travail pourrait être pénible » ? Soit il est complètement cynique, soit complètement idiot : je ne vois pas de choix.

Ici un petit métier (nettoyer les panneaux d’affichage publicitaire)

J’aime savoir que la place du Châtelet (celle où s’élève cette statue dédiée aux victoires de Napoléon) (un ange, sans doute) voit se dérouler une action d’Extinction-Rebellion (désobéissance civile non-violente).  Il doit s’agir d’une nouvelle série : la transformation de ce mur du faubourg (je me demande si, tout en haut de l’échafaudage, il s’agit bien de quelqu’un ou seulement d’une effigie d’un leurre pour effaroucher le péquin)

en dvd : La vie comme elle vient (Gustavo Pizzi, 2018) sympathique (brésilien; et familial : scénario et réalisation co-signés par l’actrice premier rôle (Karine Teles), le rôle des jumeaux tenu par les enfants du couple)

Nos meilleures années (première partie) (Marco Tullio Giordana, 2003) une merveille comme on savait (en deux époques de 3 heures qui passent comme un rêve)

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4 Comments

    les petits métiers qui sont malheureusement saisonnier (le grand et beau Seny, père de Mamadou qui traîne son inutilité maintenant que ne peut plus partir au petit matin installer les terrasses de la place de l’Horloge)
    quant à notre petit chef…

  • Nettoyer, net noyer (Steve), Les Noyers d’Altembourg (Malraux ?), les petits métiers et la précarité : l’avenir selon « le chef d’entreprise »… 🙂

  • « Nos meilleures années » : rien que de penser à ce film j’en ai déjà les larmes aux yeux… Je pleure comme une madeleine à chaque fois que je le vois (et plus encore devant la deuxième moitié)

  • @Paumée, Chasse-Clou et Employée aux écritures : merci à vous trois de vos mots toujours sincères – et aux autres qui ne disent rien mais passent