Pendant le weekend

1485 vendredi 3 juillet 2020

 

 

 

(que des emmerdes – garage, fuite au studio, factures impayées etc.) (les non-réponses au mail c’est quelque chose de tellement indécent et indigne) marcher dans les rues quand même, un passage au parc pour y voir les bûcherons élaguer les arbres

des coureuses à pied

plus un vélo – plus une gymnaste

plus une autre

mais une autre qui (ne) se cache (pas)

difficile à cadrer

bah – un café

plus tard

de retour chercher des images pour le voyage de rêve de l’ami OH – quand je pense à lui je tremble- ça n’évite rien mais je croise les doigts –

et trouver celui-ci patientant

quelque part au Mexique (j’aime ces animaux – les ânes tellement mignons, têtus courageux…) – terminant le 3 de l’atelier (avec des nouvelles de la première division  française libre servie par mon père à l’ami Gérard Théodore, puis trouvé une suite à l’affaire d’avant hier – la plainte contre les servants de la CSI 93 (dissoute) : un certain Jonathan (le plaignant, donc) venait d’un salon de coiffure situé en face de l’épicerie – et donc le salon de coiffure peut-être

lequel se situe en face de cette officine

présentée mercredi. Le monde est petit – il paraît qu’on aurait retrouvé de la drogue derrière le commissariat – il y a bien des choses à dire à voir et à raconter – on continue ? On continue, oui.

Même si en appel la condamnation de Fariba Adelkhah a été confirmée- cinq ans de prison pour rien. On n’oublie pas

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2 Comments

    j’aime la femme qui se cache sans le vouloir, j’aime tous les ânes — quoique j’ai un souvenir d’une ânesse têtue comme une mule — je n’aime pas du tout la fin

  • « Au hasard Balthasar », Robert Bresson (1966), un de ses plus beaux films, avec la future épouse de Godard… 🙂