Pendant le weekend

1510 28 Juillet 2020

 

 

voilà août – la pertinence des mots – je me suis attelé au joug de l’atelier deux fois quatre – c’est insuffisant – mais ça fait 8 – j’ai cessé de dormir en me remémorant cette marche qui m’amenait au courrier des impôts (cotisation foncière des entreprises : elle n’est liquidée (l’entreprise) (pas la cotisation, apparemment) que depuis quatre ans) (il faut du temps pour administrer) – cafe TEC aux Folies

étude vaporette remise sine die -le mail était « perdu dans les tuyaux » comme on dit –  jamais fait le rapprochement avec le métro vénitien – une image posée chez Helena Barroso de l’atelier (lisboète – le cosmopolitisme de l’atelier, j’adore)

parce que Gênes est définitivement élue comme ville étape peut-être dernière (la chanson de Belin, Peggy : adapter à la dernière ville qu’on voit, une chose est sûre, on ne le sait pas) (169 324) – (même si on n’arrivera jamais à tout lire – ni à se souvenir de tout- je me souviens pourtant avoir été chercher quelques images de Caligari et de ses arbres bleus) – un avion passait au ciel hier (ils ont recommencé leurs courses complètement folles – tant pis) (on voit le mur, oui)

au cinéma « Où est la maison de mon ami » cette merveille d’Abbas KIarostami (1987) (et la fleur dans les pages du cahier, surtout)

et tous les jours, les mots des acteurs du comité de soutien à Fariba Adelkhah

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1 Comment

    et la richesse de tout cela (y compris le 8… vous admire, pense pas l’écrire ou lire avant fin semaine, la vie suffit à m’occuper)