Pendant le weekend

1966 jeudi 28 10 21

 

 

 

reçu par la poste ces deux magnifiques (enfin, ils ont quand même quelque chose d’assez hirsute – on va pas s’mentir (#P4)) ici #390 ornant la chaire du prêcheur haranguant les ouailles de Notre-Dame-de-Bon-Secours à Nancy (pratiquement face et profil – anthropométrique – ou leométrique si tu préfères)

et là, #391, dans la même ville en son musée des beaux arts

représentant le buste de quelqu’une de la famille du sculpteur Adam – ressemble à la Bête (et donc la belle et la bête) (merci à vous, Employée, doublement) (et ne courrez pas trop vite vers vos archives)
– j’ai flâné (je n’ai pas encore flanqué aux orties l’autre wtf ao qui me donne des boutons en m’urticalisant le derme – fuck off) – je flâne mais j’arrive tard

les feuilles restées un peu sur place – tu vois je n’ai pas oublié

(Antonio Zambujo les chantait gainsbourg prévert et kosma etc.) un peu zézéyant – car le portugais parlant français zézaie toujours un peu, tu remarqueras) depuis que je connais ce fronton (une dizaine d’années peut-être) le garage a toujours été fermé -on attend le promoteur ? on ne s’entend pas sur l’héritage ?)

– avoue quand même qu’il fait beau (la misère est-elle moins pénible au soleil ? c’est la philosophie de comptoir d’Aznavour ça – à ce propos,emmenez-moi boire un café

passer devant l’arbre rampal

encore feuillu – tentative de le mettre au reflet mais non

au ciel passaient les jets

des croix au ciel

j’ai remarqué ensuite que le cent-quatre donnait le dernier james bond – on ira donc – fini le livre de Susan Travers (sympathique), relu à nouveau Norma travaillé au « vivre », retrouvé un vases communicants chez madame Jeanney (Oblique) (courses ménage filets de daurade/riz)

le sanaryote a pris un kilo – patience… – sans sieste et assez esseulé (c’était le cinq-centième billet de la maison[s]témoin) (Mouloudji chantait « faut vivre » tu te rappelles du petit Marcel ?) (à la fin, comme Barbara il en faisait des tonnes – bah…) – le soir les avions continuaient leur ballet au kérosène (je dispose d’une vingtaine d’images de ce cadre-là, mais ça va faire trop) (une seulement)

(ou deux, allez)

have a nice day

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6 Comments

    C’était peut-être la même croix céleste car hier je l’ai prise en photo, tout à fait du même tonneau (aérien)…

    Je n’irai sûrement pas voir le dernier James Bond, pour moi « Goldfinger » demeure indépassable.

    l' »ao », c’est quoi (mystère !) ? 😉

  • la belle, les bêtes, le ciel et les parcours en lui et les feuilles tombées ou non m’ mettent d’humeur à avoir un nice day (enfin presque) merci

  • @Dominique Hasselmann : ao c’est « appel d’offre » (je te l’ai déjà dit merdalafin) (merci d’être là quand même – mais tu as tort pour James Bond : saga de notre contemporain… médiatisé) (ce soir ou demain : « La fracture »)

  • @brigitte celerier : merci à vous

  • Le lion baroque me semble plus sympathique vu de face que vu de profil, quant à l’autre il était grand temps qu’il trouve une épaule solide sur laquelle poser sa vieille tête fatiguée…

  • @L’employée aux écritures : sur l’épaule, il est très bien, en effet… (encore merci, Employée)