Pendant le weekend

2022 Jeudi 23 Décembre 2021

 

 

 

portant les chaussures (neuves) de E. (qui partait vers Tours Châtellerault ou je ne sais pas bien où fêter Noël dans la famille de L.) chez le cordonnier j’y suis arrivé gelé –

j’ai rencontré il y a peu ce cordonnier (Max peut-être bien) (toutaf Olaf) : raisons de santé, mais des dizaines de mots de soutien collés sur la vitrine – l’homme est apprécié et, en effet, il m’a été parfaitement sympathique (rue des Fêtes il me semble) (perdu : rue du Pré-Saint-Gervais) (j’y ai serré la main) –

mes vœux de rétablissement s’il se peut prompt – je me renseignerai (pas réussi à retrouver le jour peut-être début septembre mais je n’ai pas le temps) mais j’en ai quand même une image (blouse grise lunettes calvitie…) (juin 2015 dit le robot)

– je me suis laissé aller, mais j’ai des trucs à faire notamment trois billets sur the artist (question de méthode : les notes de séminaire devraient être déjà posées afin d’y glaner la problématique (mais j’ai aussi la mienne…) : ici une image parmi d’autres (pour évoquer ce qu’inspirent les pratiques du héros (George Valentin mimé par Jean Dujardin) à sa partenaire (interprétée par Missi Pyle) dans « A Russian affair ») (il y a pas mal de films dans le film)

(on reconnaît peut-être John Goodman (à gauche) il interprète le rôle du producteur des films de George Valentin) (Al Zimmer) qui jouait (campait) le meilleur ami du Dude dans The Big Lebowski (les frères Coen, 1998)) (ce n’est certes pas d’un goût très raffiné, reconnais…) – entamé largement l’histoire des juifs de Tunisie (Paul Sebag, l’Harmattan), terminé le manuel à l’usage des femmes de ménage (Lucia Berlin)

en face M (Joseph Losey, 1951) remake de celui de Fritz Lang (force reste à la loi) en plein maccarthysme qui l’éloignera (pour toujours) d’Hollywood (ainsi que Chaplin si on va par là) (je me souviens des époux Rosenberg) (on retrouve le même décor (Losey aimait et soignait les décors d’ailleurs) d’escaliers en acier d’un immeuble ici et dans The Artist…) (Valentin croise Peppy qui monte, lui descend, il s’agit de l’immeuble de la production : allégorie (suprêmement légère) de ce qui se passe dans leurs vies respectives…) (le voilà, si tellement seul…

hein…)

 

 

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2 Comments

    bien aimé the artist… mais au moins autant certains des films de l’époque et leur souvenir (ainsi que la légende de l’époque) à travers lui

  • @brigitte celerier : « the artist » n’est pas mal, mais assez complaisant – tout pour Dujardin et le faire valoir, et quand il agace…Merci de vos passages