Pendant le weekend

2075 Lundi 14 Février 2022

 

 

 

le « et soudain » de Christine Jeanney sort (ici) (à titre d’information : c’est un fait) pour le reste dimanche difficile – froid un peu de marché et du cinéma – ménage travaux (la chambre de C. refaite – on attend de ses nouvelles (brrrr)) (moi et le bricolage pourtant nous sommes très fâchés) – on marchait et voilà que le satellite s’était levé

un type dans le métro disait « j’ai beau essayer de faire rire les gens c’est difficile » – et c’est vrai on est préoccupés (très) – il y a une maladie qui circule (la peur) il y en a une autre qui la suit (la répression) laquelle traîne avec elle son aura maléfique – va faire jour va pleuvoir ça va aller – en sortant le métro

un mail ravissant d’un photographe, petit fils de l’épouse d’un ami très proche de Jean-Pierre Rassam (que soit ici remercié BE, photographe de son état) (j’y ferai un mail t’inquiète)

un peu de marche sur le boulevard

revenant du ciné

et ce bouquet de roses pour l’emménagement

au ciné The Souvenir (en français Le Souvenir) deuxième partie (Joanna Hagg, 2021) sur le cinéma: c’est une merveille de savoir qu’on aime la même chose (un travelling par exemple de l’héroïne (Honor Swinton Byrne) qui court dans des herbes suffit à une espèce d’extase) (j’ai adoré – il vaut peut-être mieux voir le 1 d’abord) (après on peut discuter la séquence du rêve) (Tilda Swinton tellement parfaite qu’on se demande ce qu’elle peut bien faire dans Memoria (Apichatpong Weerasetalkhul, 2021) : passons)

 

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