Pendant le weekend

2123 Samedi 2 Avril 2022

 

 

 

cette neige – n’importe quoi : ne pas se découvrir fermer le manteau affronter le froid -marché (lard chorizo fromages pommes poires salades herbes oignons poivrons patate douce puis vrakiste mélinguiste – la routine probablement concrétisée en chili con carne ce soir) (annulation du café chasse-cloutesque et carillonneur) – écrire pour la transversale cinq (une espèce de discipline parfaitement utile – cependant je sais ce que je pense de ce concept d’utilité) (je me soigne, et je continue) – relecture attentive de « Une longue saison de douleur  et de mort » (Philippe Foro chez vendémiaire) (sous titrée L’affaire Aldo Moro) travailler rouge donc – des images de Petite Nature (tout à l’heure dans ville & cinéma, Forbach si j’y parviens) le cinéma : écran blanc nuit noire : travelling latéral (travaux hôpital Lariboisière

ce coin de rue (vue de la rue Tombouctou avant ça; mars 2020 : les panneaux verts et blancs y sont déjà

les travaux à Paris, cette raison de vivre de la ville)

bon la dernière est manquée – mais j’ai une certaine tendresse pour les images « manquées » (par rapport à quoi ?) je la poste poussée dans les rouges

afin de remercier de l’invitation les pilotes de DIRE (j’y vais, bien sûr) (textes/images animées ou fixes/sons sont les bienvenu.es : on peut demander trouver ici l’adresse) – pano gauche droite : dans la voiture ce chanteur très habitué de la ligne Nation Dauphine par Barbès (on n’a pas eu droit à chanson, seulement à arpèges)

 

au cinéma des cinéastes L’ombre d’un mensonge (Nobody has to know) (Bouli Lanners, 2021) bienveillant magnifique d’humanisme ou d’humanité peut-être  (pensé à ce Gens de Dublin (John Huston, 1987) adapté d’Henry James(ou même au Fanny et Alexandre d’Ingmar Bergman (1982) avec toutes ces aigreurs en moins) (apparemment tourné sur l’île de Lewis au nord de l’Écosse)

 

 

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3 Comments

    éveillée en retard… sous le charme des photos loupées (les aime aussi moi) faudra que je revienne détailler

  • « Un soir un train », pas mal non plus (D’un Delvaux l’autre)…

    L’attirance pour les convois ferroviaires : le destin comme bloqué sur des rails et qui ira à son terminus, métaphore de l’existence avec ou sans aiguillages… ===================================================================================/

  • @Dominique Hasselmann : on ne les entend plus siffler,en tout cas… (merci de passer) (le film de Delvaux : beaucoup aimé l’onirisme – et Montand Anouk Aimée ..)