Pendant le weekend

2169 Mardi 17 Mai 2022

 

 

j’ai marché – cherché partout un blouson sans le retrouver (oublié sans doute dans les profondeurs provinciales) – réalisé l’inanité d’écrire sur le cinéma (cependant il y a bien longtemps que je l’aime bien que n’y allant jamais seul) (ou alors rarement mais j’aime pas) – ici

(la force de l’arbre Rampal et l’imbécillité humaine) et là

(de la qualité des noirs) – travail à la table pour récupérer (tenter de, mais je ne me souviens plus bien – l’âge aide à oublier, c’est aussi bien) (presque fini le 2 qui n’en est pas un mais c’est égal on en fait ce qu’on entend et veux- reçu ceci de mon ami libraire (c’est à Lille au musée des Beaux-Arts – merci à lui (sauf pour le doigt mais enfin, passons, l’animal est dans son expression la plus haute…) (#403)

(ou la plus ridicule) cet autre-ci taxé chez paumée (sans autorisation mais je sais qu’elle mon donnerait son imprimatur (blogimatur peut-être))

(#404 – avignonnais) (entendu cependant sur radio paris le signalement d’un nouveau locataire (qui est une locatrice) rue de Varennes (bail de six semaines, c’est chouette – je me souviens de la précédente au poste qui n’en avait rien à cirer de la bourse – chouette aussi) (enfin le signal est fort, hypocrite et mensonger comme à l’habitude) j’aime beaucoup cette image, je vous la confie (c’est Judith (le même prénom, il me semble, que la fille à l’écran (Megan Northam) de Charlotte Gainsbourg (Elisabeth) qui vient de réaliser son destin)

il me semble me souvenir qu’il s’agit d’un tableau du Caravage (que j’identifie parfois à Pcube – soit PPP – soit Pier Paolo Pasolini puisqu’il faut tout expliquer – rapport (c’est le cas de le dire) à leurs mœurs disons particulières) ici en image de tête d’un billet de maison[s]témoin pour laquelle je prépare un billet cinématographique et comparatif – si j’y arrive) (tout ça représente du travail – mais non rémunéré, en est-ce vraiment ?) (tandis que s’ouvre le festival non ? starlettes champagnes excès marchés et compagnie) (je en résiste pas (ce sont : Jury Dinner Ahead Of The 75th Annual Cannes Film Festival • Asghar Farhadi, Deepika Padukone, Jasmine Trinca, Jeff Nichols, Joachim Trier, Ladj Ly, Rebecca Hall, Thierry Fremaux (orga/dir/y’a pas Pierre Lescure mais tant pis), Vincent Lindon (président) – trois femmes, cinq hommes pour le soixante quinzième festival – OSEF un ptit peu – ce dont on se fout moins (mais qui tout autant respecte un certain ordre) c’est que ce sont trois actrices – le président aussi, certes – les hommes sont réalisateurs – c’est bizarre hein)

 

 

 

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4 Comments

    bien entendu que le lion ne m’appartient pas (aucune image d’ailleurs)… regrette un peu le temps d’avant restauration quand s’habillait de lierre
    vu qu’une dame « importante » prenait le direction du festival de Cannes

  • Je suis justement en train de lire « La solitude Caravage » de Yannick Haenel et la couverture est ce même tableau, Judith et Holopherne, vers 1599, Palazzo Barverini, Rome.
    Tu verras, sur mon blog, que Yannick Haenel était au musée de Cluny…

    Festival de Cannes : ce Vincent Lindon, ça va pas être léger. 🙁

  • @brigitte celerier : oui à partir de l’année prochaine (merci du commentaire)(et du lion)

  • @Dominique Hasselmann : j’aime beaucoup Vincent Lindon, quoi que tu puisses en dire – mais en général c’est assez du lourd oui… (merci pour l’emplacement du tableau – j’y fus, à Rome, il y a dix ans peut-être) (merci du commentaire)