2362 Mardi 13 Juin 2023

la journée d’atelier – mais écrire en pure perte – je suis contre la performance, l’impact, l’influence, le mérite – je déteste ces frasques (je me souviens parfaitement de celui qu’on nommait « il cavaliere » ou « sua emitanza » mimer l’acte sexuel derrière une policière, dans la rue, pour rire – et ça faisait rire l’Italie comme les parties fines qu’il organisait, les ballets roses et autres amusettes sexuelles – les salauds meurent aussi disait je ne sais plus qui – en effet – une image, tant pis

Italian television manager Silvio Berlusconi leaves the Pavillon Gabriel in Paris, on November 22, 1985 after a press conference, where he presents the upcoming privately owned 5th TV channel for which he just signed an agreement with the French government. AFP PHOTO MICHEL CLEMENT (Photo by MICHEL CLEMENT / AFP)

Le directeur de la télévision italienne Silvio Berlusconi
quitte le Pavillon Gabriel à Paris, le 22 novembre 1985
après une conférence de presse, où il présente la
future 5e chaîne de télévision privée pour laquelle 
il vient de signer un accord avec le gouvernement français. 
AFP PHOTO MICHEL CLEMENT (Photo by MICHEL CLEMENT / AFP)

du temps où le type était (plutôt) bien en cour socialiste (proche de Bettino Craxi - et donc, par osmose, de tonton)

)

je préfère encore (et de très loin) (ça devrait être au carnet mais j’oublie ce que j’y pose souvent) les musiciens du métro

ou ses petits métiers

premier jour en septuagénaire (en lecture (entre autres) Le coût de la vie, Deborah Levy)

en face  La ciociara (Vittorio De Sica, 1960) l’armée, la guerre, une veuve seule et sa fille, toutes deux violées par les vainqueurs (l’ambiance fin quarante trois, en Italie fasciste) (le titre est le nom de la région d’où vient l’héroïne et où elle et sa fille se réfugient, par extension métaphorique, c’est elle) Sophia somptueuse évidemment (prix d’interprétation à Cannes 61, Oscar à Hollywood 62, quand même ce film serait produit par son mari) (retour de la star en Italie fracassant…)