2405 Vendredi 28 Juillet 2023

mois déplorable qui voit la disparition de Marc Augé et de la mère de T. (la belle-mère de M.)* (mes amis grecs – la nuit profonde dans laquelle s’enfonce ce pays, les feux les fascistes les dettes) (cette même odeur par ici) (cette même pourriture tant attendue et probablement espérée et en tout cas médiatisée jusqu’à la nausée en Espagne) – vacances cependant bricolantes

parfois même les images m’agacent – je préférerais les oublier – les nouvelles du sanaryote sont extrêmement mauvaises (s’il n’en donnait pas c’est qu’il glissait comme dit l’art médical) rien

quelques fleurs à lui dédiées

un demi-siècle d’amitié

un café peut-être

un internet de maçon – de la pluie et du beau temps – on rentrera début août, on ira au cinéma (ici la programmation est à l’égal de la qualité du réseau : une espèce de dégoût, tu vois) (c’est égal je continue – j’ai même réussi (crois-je naïvement) à abonder à la consigne du 7bis sans la connaître – cette année l’atelier d’été pourrait s’intituler (comme aimait à dire Pedro) (qui est un prénom de cette époque-là) tout sur ma mère mais en réalité non (même eu droit à un texto inutile et con des jumelles) c’est égal je continue (un textulet dans la revue magique de Françoise Breton et ses homologues de Villes en voix qu’on remercie ici chaleureusement) une image dans les rouges

une autre dans les verts (bouillon de feuilles de lierre

augmenté de lavande

on obtient de la lessive) on s’amuse (parce qu’il faut oublier ces conditions) on se moque de la pluie (on relit Tristes tropiques  et Lucien Leuwen)

le figuier croît et embellit (on lit Filmer Juger (Christian Delage) et Histoire des grands-parents que je n’ai pas eus (Ivan Jablonka) – il est certain que ça peut aussi plomber l’ambiance…)

on devrait lui adjoindre un frère – vélo marche à pied parfois de furieux airs d’épidémie d’opérette – retrouvée dans une poche une attestation (détestation) – ici les deux effigies (#422)  ligneuses de lions (dont un se cache) promis il y a quelques mois

avançons, veux-tu

en dvd The Shangaï Gesture (Joseph  von Sternberg, 1941) (bof)
Le Cid (Anthony Mann, 1961) (rebof)

*en spéciale dédicace à DH (aka CC) que je ne parviens pas à suivre d’ici (à bientôt au Carillon)